Depuis Entre les murs et le récent Titane, les palmes d'or reviennent à nouveau dans les mains des français ou plutôt françaises car Anatomie d'une chute est signé de Justine Triet, que l'on connaissait déjà pour son précédent film sur la justice - Victoria - avec la formidable Virginie Efira.

Si ce nouveau long-métrage est également un film de prétoire, il n'en demeure pas moins un excellent tollé sur la relation de couple scruté par un enfant malvoyant et son chien (qui a reçu justement la palme dog) semblant être le point névralgique du film, et pour le coup qui voit tout.

Anatomie d'une chute est donc cette fresque de plus de 2 heures 30 qui passent en un éclair sur cette chute et ce procès. Qui est le coupable ? Est-ce que cette femme (excellente Sandra Hüller) a vraiment tué son mari ? A vous de voir le film pour avoir ou non la réponse...

En bref, un film haletant où règne la toute puissance machiavélique d'une femme que l' croit ou pas innocente.

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