De Lee Isaac Chung
Avec Daisy Edgar-Jones, Glen Powell
Chronique : N’ayant pas le souvenir d’avoir vu le film original, ce n’est donc pas par nostalgie que je suis allé voir Twisters, mais simplement pour poser mon cerveau et profiter du blockbuster estival premier degré que le film catastrophe promettait d’être. Et qu’il est totalement.
La minceur du scénario est proportionnel à l’efficacité des effets spéciaux et les personnages sont aussi peu approfondis que le rendu des tornades est impressionnant. Les scènes d’action sont assez dantesques et très réussies donc, et la météo se pose en grand méchant aussi léthal que crédible.
Un divertissement à l’ancienne assumé, qui souffre cependant du côté répétitif de l’intrigue.
Le petit truc en plus est sans doute son casting, et l’alchimie évidente qui opère entre Glenn Powell (Tout sauf toi, Top Gun Maverick) le nouveau sex-symbol d’Hollywood très porté sur l’autodérision et la subtile Daisy-Edgar Jones (Normal People, Là où chantent les écrevisses) très convaincante dans ce contre-emploi. Un guilty pleasure très assumable.
Synopsis : Ancienne chasseuse de tornades, Kate est encore traumatisée par sa confrontation avec une tornade lorsqu’elle était étudiante. Désormais, elle préfère étudier le comportement des tempêtes en toute sécurité depuis New York. Mais lorsque son ami Javi lui demande de tester un nouveau détecteur de tornades, elle accepte de retourner au cœur de l’action. Elle rencontre alors le charmant et téméraire Tyler Owens, célèbre pour ses vidéos de chasse aux tornades postées sur les réseaux sociaux. Alors que la saison des tempêtes atteint son paroxysme, des tornades d’une ampleur sans précédent mettent leurs vies en péril.