Cinéphile du jour, bonjour !!! Aujourd'hui, je vais continuer mon cycle Patricia Cornwell avec une troisième enquête dans la franchise des Kay Scarpetta à savoir "Et il ne restera que poussière". Pour ceux qui veulent en savoir un peu plus au sujet de ce roman et connaître mon avis, cliquez sur "Lire la suite"...
"- Difficile de croire qu'il ait pu arriver si haut en étant dingue.
- Mais c'est cela qui est magnifique dans cette bonne ville de Washington, rétorqua-t-elle avec cynisme. Il y à là les gens les plus puissants et les plus adulés de la terre. Une bonne moitié est dingue, et l'autre névrosée... et la presque totalité est immorale. C'est le pouvoir qui veut ça. Franchement, j'ai du mal à comprendre pourquoi le Watergate a surpris tout le monde."
Quatrième de couverture :
En deux ans, quatre couples ont disparu dans la région de Williamsburg. On a retrouvé leurs voitures, et, plusieurs semaines après, leurs restes… Trop peu de choses en vérité pour que Kay Scarpetta puisse déterminer les causes du décès.
Mais, cette fois, tout va changer : l’étudiante qui circulait avec son petit ami à bord d’une Jeep Cherokee est la fille d’une des femmes les plus puissantes des États-Unis, numéro un de la lutte antidrogue,qui est bien décidée à remuer ciel et terre pour élucider cette disparition.
Description :
"Et il ne restera que poussière" est un roman écris par Patricia Cornwell qui à été publié en 1992 aux Etats-Unis et en 1993 la première fois en France.
Le titre original de "Et il ne restera que poussière" est "All That Remains".
Après "Mémoires mortes", il s'agit du troisième roman mettant en scène une enquête du personnage fictif Kay Scarpetta.
Le livre que je possède est dans la collection "Le livre de poche" (thriller) et est paru aux éditions des Deux-Terres.
Il à été traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Andrea H. Japp.
La première édition de cet ouvrage à paru en France en 1993 aux éditions du Masque. L'édition des Deux-Terres, publié sous le même titre, en propose une nouvelle traduction. Cette nouvelle traduction date de 2005.
Le livre est dédié à Michael Congdon.
Le livre que je possède contient 444 pages étalés sur 18 chapitres (un de plus que le précédent roman).
La couverture du livre que j'ai ai toujours sombre même si cette fois ci, l'utilisation de la couleur beige permet de mettre une image moins "froide" je trouve. On y voit une roue de voiture avec une tache de sang sur la carrosserie de la voiture.
Le code ISBN (International Standard Book Number) de ce livre est 978-2-253-11409-3.
A l'heure où j'écris ses lignes, la Fox se serait procuré les droits de la série des Scarpetta dans le but d'en faire une adaptation cinématographique avec Angelina Jolie dans le rôle principal. A ce stade, le projet est encore en cours de discussion.
A propos de l'auteur :
Patricia Cornwell est née le 9 juin 1956 à Miami, en Floride. Son intérêt pour l'écriture se dessine dès son enfance, et Patricia est encouragée dans cette voie par Ruth Graham, l'épouse du célèbre prêcheur évangéliste Billy Graham, qui s'est occupée de Patricia après le départ de son père, alors que celle-ci n'a que cinq ans. Patricia Cornwell consacrera par la suite son premier livre à la biographie de Ruth Graham, en 1983. Après des études dans le Tennessee et en Caroline du Nord, elle commence à écrire en 1979 pour le Charlotte Observer, où elle se consacre aux affaires criminelles, domaine pour lequel elle se découvre bientôt une véritable passion. Cette passion et l'insatiable curiosité dont fait elle preuve la conduisent à postuler un poste de rédacteur technique à l'Institut médico-légal de Richmond, où elle travaillera pendant six ans, assistant à de nombreuses autopsies. Elle travaille également comme officier de police volontaire, ce qui lui donne l'occasion de participer aux rondes de police de nuit. C'est de ces nombreuses expériences sur le terrain que va naître l'univers de ses romans policiers, dont on a souvent salué le réalisme.
Sa rencontre avec le Dr Marcella Fierro, médecin légiste en chef à l'Institut médico-légal, lui inspire le personnage de Kay Scarpetta, qui mène autopsies et enquêtes avec rigueur et détermination. Kay Scarpetta est le personnage principal du premier roman policier de Patricia Cornwell, "Postmortem" (1991), qui remporte immédiatement un succès fulgurant, recevant la même année les plus prestigieux prix du roman policier, tant aux Etats-unis qu'en Grande-Bretagne et en France. Ce succès ne se démentira pas par la suite, et les romans suivants mettant en scène Kay Scarpetta sont tous des best-sellers, ainsi d'ailleurs que les trois romans policiers mettant en scène Virginia West. Les romans de Patricia Cornwell ont tous en commun une même force, un réalisme et une précision nourris d'une vision tirant sa source de sa propre expérience et de son insatiable soif de connaissances. Elle a ainsi suivi une formation intensive à l'Académie du F.B.I. de Quantico, Virginie. "C'est important pour moi de vivre dans le monde sur lequel j'écris, dit-elle. Si je veux qu'un personnage fasse ou sache quelque chose, je veux faire ou connaître la même chose."
Voici par ordre de parution, les enquêtes du personnage de Kay Scarpetta publiés jusqu'à ce jour :
Dans la série Virginia West, Patrcia Cornwell à aussi écris :
Elle à également écris une série avec comme personnage Winston "Win" Garano :
Patricia Cornwell à aussi écris les livres suivants :
Mon avis sur ce roman :
Le deuxième roman sur les enquêtes du personnage fictif de Kay Scarpetta m'ayant autant emballé que la première, c'est avec toute logique qu'une fois ma lecture fini, je me suis précipité pour acheter "Et il ne restera que poussière", la troisième aventure du célèbre médecin légiste. Je me répète sans doute mais une nouvelle fois, j'ai adoré. Tout ce que j'aime dans ce genre littéraire et qui font que j'ai une affection pour les polars et les thrillers en roman est présent dans cette nouvelle histoire fort passionnante. Toujours avec un langage maitrisé qui fait qu'on sens le travail effectué par l'auteure, j'ai été pris dès la première page jusqu'à la dernière. Précis, efficace, il est au même niveau pour moi que les précédents volets que j'ai lu et même si "Postmortem" continue d'avoir ma préférence, j'ai trouvé que "Et il ne restera que poussière" était plus palpitant encore que "Mémoires mortes" (que j'avais déjà beaucoup aimé je le rappelle ;-) ).
A chaque pages qui défilaient sous mes yeux, je me sentais embarqué dans cette enquête avec la même détermination que le Docteur Kay Scarpetta. D'ailleurs, même si la description physique du roman de ce personnage est à l'opposé d'Angelina Jolie, plus je lis ses aventures et plus je m'imagine cette actrice pour ce rôle si l'adaptation cinématographique devait voir le jour. On retrouve les personnages principaux avec beaucoup de plaisir et l'association de Scarpetta avec Marino est de plus en plus complice professionnellement parlant. Très complémentaire ses deux personnages sont en tout cas très touchant et s'avère une nouvelle fois des piliers de ses romans. On retrouve aussi Abby dont on avait fait la connaissance dans "Postmortem" de façon habile. Cette enquête sous fond de complot gouvernemental est en tout cas bien amené au point que l'on peut se sentir perdu également dans le bon sens du terme. En effet, on ne cesse d'essayer de démêler le vrai du faux au point que la paranoïa dont fait l'objet Abby se fait bien ressentir par le lecteur qui se sens lui aussi de plus en plus oppressé en ce demandant comment tout ça va se terminer. J'aime beaucoup en tout cas les histoires de serial killer et celle ci s'avère bien prenante. Malheureusement, comme pour "Postmortem", je m'étais peut être fait trop d'hypothèses dans ma tête au cours de ma lecture du coup j'ai eu l'impression que la fin choisi était un peu facile. Je veux dire par là que la façon qui à permis de découvrir le tueur est un peu grossière je trouve mais néanmoins, ça reste quand même plus percutant que "Postmortem" où je ne m'attendais vraiment pas à tous les événements à la fin ce qui fait qu'on reste quand même très surpris que le livre ce fini de telle façon même si ça rend le roman encore plus fort émotionnellement.
Je suis en tout cas toujours aussi fan du style de Patricia Cornwell qui à l'art de donner des fausses pistes tout en sachant vers quelle direction aller. Très facile et très agréable à lire (ça se lit vraiment très vite), la crédibilité de cette histoire fait qu'on se l'imagine parfaitement au cours de la lecture. Sans jamais prendre la tête avec un langage trop technique, n'hésitant pas même à expliquer certains détails qui ont été évoqué dans les précédents romans (ce qui fait que ceux qui lise ce livre en premier ne sont vraiment pas perdu), il me donnerait presque envie de devenir médecin légiste. Au final, "Et il ne restera que poussière" et un excellent roman policier que je recommande tout comme les deux précédent. C'est tout à fait le genre d'histoire que j'aime lire et j'apprécie le fait qu'à chaque fois Patricia Cornwell se montre original dans ses enquêtes sans jamais repompés ce qui à déjà été fait. Je me suis d'ores et déjà attaquer à la quatrième enquête dont je parlerais prochainement mais qui me tarde déjà de finir tant je suis une nouvelle fois pris au jeu ;-) .
Source :
"- Difficile de croire qu'il ait pu arriver si haut en étant dingue.
- Mais c'est cela qui est magnifique dans cette bonne ville de Washington, rétorqua-t-elle avec cynisme. Il y à là les gens les plus puissants et les plus adulés de la terre. Une bonne moitié est dingue, et l'autre névrosée... et la presque totalité est immorale. C'est le pouvoir qui veut ça. Franchement, j'ai du mal à comprendre pourquoi le Watergate a surpris tout le monde."
En deux ans, quatre couples ont disparu dans la région de Williamsburg. On a retrouvé leurs voitures, et, plusieurs semaines après, leurs restes… Trop peu de choses en vérité pour que Kay Scarpetta puisse déterminer les causes du décès.
Mais, cette fois, tout va changer : l’étudiante qui circulait avec son petit ami à bord d’une Jeep Cherokee est la fille d’une des femmes les plus puissantes des États-Unis, numéro un de la lutte antidrogue,qui est bien décidée à remuer ciel et terre pour élucider cette disparition.
"Et il ne restera que poussière" est un roman écris par Patricia Cornwell qui à été publié en 1992 aux Etats-Unis et en 1993 la première fois en France.
Le titre original de "Et il ne restera que poussière" est "All That Remains".
Après "Mémoires mortes", il s'agit du troisième roman mettant en scène une enquête du personnage fictif Kay Scarpetta.
Le livre que je possède est dans la collection "Le livre de poche" (thriller) et est paru aux éditions des Deux-Terres.
Il à été traduit de l'anglais (Etats-Unis) par Andrea H. Japp.
La première édition de cet ouvrage à paru en France en 1993 aux éditions du Masque. L'édition des Deux-Terres, publié sous le même titre, en propose une nouvelle traduction. Cette nouvelle traduction date de 2005.
Le livre est dédié à Michael Congdon.
Le livre que je possède contient 444 pages étalés sur 18 chapitres (un de plus que le précédent roman).
La couverture du livre que j'ai ai toujours sombre même si cette fois ci, l'utilisation de la couleur beige permet de mettre une image moins "froide" je trouve. On y voit une roue de voiture avec une tache de sang sur la carrosserie de la voiture.
Le code ISBN (International Standard Book Number) de ce livre est 978-2-253-11409-3.
A l'heure où j'écris ses lignes, la Fox se serait procuré les droits de la série des Scarpetta dans le but d'en faire une adaptation cinématographique avec Angelina Jolie dans le rôle principal. A ce stade, le projet est encore en cours de discussion.
Patricia Cornwell est née le 9 juin 1956 à Miami, en Floride. Son intérêt pour l'écriture se dessine dès son enfance, et Patricia est encouragée dans cette voie par Ruth Graham, l'épouse du célèbre prêcheur évangéliste Billy Graham, qui s'est occupée de Patricia après le départ de son père, alors que celle-ci n'a que cinq ans. Patricia Cornwell consacrera par la suite son premier livre à la biographie de Ruth Graham, en 1983. Après des études dans le Tennessee et en Caroline du Nord, elle commence à écrire en 1979 pour le Charlotte Observer, où elle se consacre aux affaires criminelles, domaine pour lequel elle se découvre bientôt une véritable passion. Cette passion et l'insatiable curiosité dont fait elle preuve la conduisent à postuler un poste de rédacteur technique à l'Institut médico-légal de Richmond, où elle travaillera pendant six ans, assistant à de nombreuses autopsies. Elle travaille également comme officier de police volontaire, ce qui lui donne l'occasion de participer aux rondes de police de nuit. C'est de ces nombreuses expériences sur le terrain que va naître l'univers de ses romans policiers, dont on a souvent salué le réalisme.
Sa rencontre avec le Dr Marcella Fierro, médecin légiste en chef à l'Institut médico-légal, lui inspire le personnage de Kay Scarpetta, qui mène autopsies et enquêtes avec rigueur et détermination. Kay Scarpetta est le personnage principal du premier roman policier de Patricia Cornwell, "Postmortem" (1991), qui remporte immédiatement un succès fulgurant, recevant la même année les plus prestigieux prix du roman policier, tant aux Etats-unis qu'en Grande-Bretagne et en France. Ce succès ne se démentira pas par la suite, et les romans suivants mettant en scène Kay Scarpetta sont tous des best-sellers, ainsi d'ailleurs que les trois romans policiers mettant en scène Virginia West. Les romans de Patricia Cornwell ont tous en commun une même force, un réalisme et une précision nourris d'une vision tirant sa source de sa propre expérience et de son insatiable soif de connaissances. Elle a ainsi suivi une formation intensive à l'Académie du F.B.I. de Quantico, Virginie. "C'est important pour moi de vivre dans le monde sur lequel j'écris, dit-elle. Si je veux qu'un personnage fasse ou sache quelque chose, je veux faire ou connaître la même chose."
Voici par ordre de parution, les enquêtes du personnage de Kay Scarpetta publiés jusqu'à ce jour :
- 1990 : Postmortem
- 1991 : Mémoires mortes (Body of Evidence)
- 1992 : Il ne restera que poussière... (All that remains)
- 1993 : Une peine d'exception (Cruel and unusual)
- 1994 : La Séquence des corps (The body farm)
- 1995 : Une mort sans nom (From Potter's field)
- 1996 : Morts en eaux troubles (Cause of death)
- 1997 : Mordoc (Unnatural exposure)
- 1998 : Combustion (Point of origin)
- 1999 : Cadavre X (Black notice)
- 2000 : Dossier Benton (The last Precinct)
- 2003 : Baton Rouge (Blow fly)
- 2004 : Signe suspect (Trace)
- 2005 : Sans raison (Predator)
- 2007 : Registre des morts (Book of dead)
- 2009 : Scarpetta
Dans la série Virginia West, Patrcia Cornwell à aussi écris :
- 1996 : La ville des frelons (Hornet's Nest)
- 1998 : La griffe du Sud (Southern Cross)
- 2001 : L'île des chiens (Isle of Dogs)
Elle à également écris une série avec comme personnage Winston "Win" Garano :
- 2007 : Tolérance zéro (At Risk)
- 2008 : he Front. Sorti en mai 2008, pas encore traduit en français.
Patricia Cornwell à aussi écris les livres suivants :
- Jack l'éventreur : affaire classée - Portrait d'un tueur (Portrait of a Killer: Jack the Ripper - Case Closed)
- 1983 : A Time for Remembering - The Story of Ruth Bell Graham (ouvrage non traduit en français), – Réédition, sous le titre "Ruth, A Portrait : The Story of Ruth Bell Graham"
- 1998 : Scarpetta's Winter Table (ouvrage non traduit en français)
- 1998 : Life's Little Fable (littérature pour enfants, ouvrage non traduit en français)
- 2001 : Patricia Cornwell et Marlene Brown, Crimes et délices : la cuisine de Kay Scarpetta (Food to Die For: Secrets from Kay Scarpetta's Kitchen)
Le deuxième roman sur les enquêtes du personnage fictif de Kay Scarpetta m'ayant autant emballé que la première, c'est avec toute logique qu'une fois ma lecture fini, je me suis précipité pour acheter "Et il ne restera que poussière", la troisième aventure du célèbre médecin légiste. Je me répète sans doute mais une nouvelle fois, j'ai adoré. Tout ce que j'aime dans ce genre littéraire et qui font que j'ai une affection pour les polars et les thrillers en roman est présent dans cette nouvelle histoire fort passionnante. Toujours avec un langage maitrisé qui fait qu'on sens le travail effectué par l'auteure, j'ai été pris dès la première page jusqu'à la dernière. Précis, efficace, il est au même niveau pour moi que les précédents volets que j'ai lu et même si "Postmortem" continue d'avoir ma préférence, j'ai trouvé que "Et il ne restera que poussière" était plus palpitant encore que "Mémoires mortes" (que j'avais déjà beaucoup aimé je le rappelle ;-) ).
A chaque pages qui défilaient sous mes yeux, je me sentais embarqué dans cette enquête avec la même détermination que le Docteur Kay Scarpetta. D'ailleurs, même si la description physique du roman de ce personnage est à l'opposé d'Angelina Jolie, plus je lis ses aventures et plus je m'imagine cette actrice pour ce rôle si l'adaptation cinématographique devait voir le jour. On retrouve les personnages principaux avec beaucoup de plaisir et l'association de Scarpetta avec Marino est de plus en plus complice professionnellement parlant. Très complémentaire ses deux personnages sont en tout cas très touchant et s'avère une nouvelle fois des piliers de ses romans. On retrouve aussi Abby dont on avait fait la connaissance dans "Postmortem" de façon habile. Cette enquête sous fond de complot gouvernemental est en tout cas bien amené au point que l'on peut se sentir perdu également dans le bon sens du terme. En effet, on ne cesse d'essayer de démêler le vrai du faux au point que la paranoïa dont fait l'objet Abby se fait bien ressentir par le lecteur qui se sens lui aussi de plus en plus oppressé en ce demandant comment tout ça va se terminer. J'aime beaucoup en tout cas les histoires de serial killer et celle ci s'avère bien prenante. Malheureusement, comme pour "Postmortem", je m'étais peut être fait trop d'hypothèses dans ma tête au cours de ma lecture du coup j'ai eu l'impression que la fin choisi était un peu facile. Je veux dire par là que la façon qui à permis de découvrir le tueur est un peu grossière je trouve mais néanmoins, ça reste quand même plus percutant que "Postmortem" où je ne m'attendais vraiment pas à tous les événements à la fin ce qui fait qu'on reste quand même très surpris que le livre ce fini de telle façon même si ça rend le roman encore plus fort émotionnellement.
Je suis en tout cas toujours aussi fan du style de Patricia Cornwell qui à l'art de donner des fausses pistes tout en sachant vers quelle direction aller. Très facile et très agréable à lire (ça se lit vraiment très vite), la crédibilité de cette histoire fait qu'on se l'imagine parfaitement au cours de la lecture. Sans jamais prendre la tête avec un langage trop technique, n'hésitant pas même à expliquer certains détails qui ont été évoqué dans les précédents romans (ce qui fait que ceux qui lise ce livre en premier ne sont vraiment pas perdu), il me donnerait presque envie de devenir médecin légiste. Au final, "Et il ne restera que poussière" et un excellent roman policier que je recommande tout comme les deux précédent. C'est tout à fait le genre d'histoire que j'aime lire et j'apprécie le fait qu'à chaque fois Patricia Cornwell se montre original dans ses enquêtes sans jamais repompés ce qui à déjà été fait. Je me suis d'ores et déjà attaquer à la quatrième enquête dont je parlerais prochainement mais qui me tarde déjà de finir tant je suis une nouvelle fois pris au jeu ;-) .
- Wikipédia
- Site officiel de Patricia Cronwell (anglais)
- Patricia Cronwell aux éditions Deux-Terres (français)