[Critique] The Black Balloon

[Critique] The Black Balloon

Film australien de 2008, The Black Balloon est à venir prochainement dans nos salles nationales. Rhys Wakefield en est la vedette au côté de Gemma Ward, Luke Ford, Erik Thomson et la seule star mondialement connue du casting : Toni Collette. Luke Ford n’est pas inconnu  car il a déjà joué dans un blockbuster : Alex O’Connell dans The Mummy :Tomb of the Dragon Emperor.

L’histoire : la famille Mollison change régulièrement de résidence car le père militaire se voit régulièrement changé d’affectation.  Le mère (Toni !!) est mère au foyer à plein temps. Elle a déjà 2 fils (Thomas joué par Rhys et Charlie interprété par Luke) et attend un troisième enfant. Charlie est handicapé mental et la crainte du père et que le futur bébé ait la même condition. Thomas l’aîné a passé son enfance à s’occuper de son frère et l’idée de passer son adolescence à faire de même ne l’enchante guère surtout lorsque ses camarades de classe ne sont pas très tolérants envers les personnes « mentally challenged ». Et puis il y a Jackie (Gemma)…

Drame social à l’australienne ce film est rafraichissant. Il ne tombe pas dans les clichés des films américains pouvant traiter du même thème. Les acteurs sont fantastiques et jouent juste. Toni est parfaite en mère australienne complètement dévouée à sa famille. The Black Balloon dépeint avec justesse l’atmosphère des banlieues de Nouvelle Galles du Sud. Après Max & Mary et Samson & Delilah l’an dernier, le cinéma australien n’en finit pas de nous faire plaisir !

A voir absolument !