Toy Story 3 est un film des studio Pixar, réalisé par Lee Unkrich (Nemo, Monstres et Cie). Ce film est le 3ème de la franchise, le premier étant sortit il y a presque 15 ans.

Synopsis: Andy est grand maintenant, il entre à l’université et les jouets de son enfance n’y ont pas vraiment leur place. Woody, Buzz et leurs amis vont affronter de nouvelles aventures dans… une crèche!

Première chose à savoir: Ce n’est pas qu’une vulgaire suite! Toy Story 3 c’est une aventure à part entière, plein de nouveau personnages mais aussi les anciens, plein de souvenirs et pleins de nouveauté!

Le premier film à 15 ans et dans ce troisième film Andy prend 15 ans (et nous aussi au passage) c’est donc un nouveau départ complètement justifié. Les jouets n’ont pas vieillit mais les humains oui… même nous pauvre spectateur qui avions tant apprécié le premier film!

On retrouve tous les survivants des premiers films et on y ajoute des petits nouveaux soit gentils, soit méchant mais avec chacun leur caractère bien différent. Tous on un charme et une façon de nous faire rire bien différente. Y en a pour tous le monde, certains vont réellement adorer Ken !!

Ce film est un concentré de bonne humeur, de souvenir, d’émotion. Certains on versé des larmes, moi j’ai résisté parce que je ne voulais pas en rater une miette!

Il rappelle aussi à pas mal de jeune, le départ de la maison des parents et cet abandon des jouets, quand on les mets dans un carton et que suivant la place ils finissent soit au grenier, soit à la poubelle, soit en dons.

Par contre il n’est pas forcement important de le voir en 3D, elle n’est pas tellement utilisé à part pour des effets de profondeur.

J’ai passé 1h30 de rigolade, de sourire et j’ai adoré. Pour moi Pixar nous offre un bijou de plus, ils ont la capacité de ne jamais me décevoir. Il est bien meilleur que le 1 et le 2 à mes yeux, y a pas photo!

Ma note: 10/10 il est frais, il est bon et je n’ai rien à redire :)

Public : Pour petits et grands, enfants ou pas!

Infos : Je voulais remercier Allociné pour son invitation, son coktail et pour le petit cadeau déposé sur le fauteuil du cinéma (qui n’a en rien affecté ma critique, je le jure).

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