Harry Potter et les reliques de la mort, partie 2 et fin d’une aventure de plus de 10 ans.
Synopsis officiel : Harry Potter et les Reliques de la Mort est la septième et dernière aventure de la série Harry Potter. Cet événement cinématographique tant attendu, fera l’objet de deux longs métrages.
La première partie commence avec la périlleuse mission menée par Harry, Ron et Hermione pour retrouver et détruire le secret de l’immortalité et du pouvoir destructeur de Voldemort : les Horcruxes. Seuls, sans les conseils de leurs professeurs ni la protection du professeur Dumbledore, les trois amis doivent plus que jamais compter les uns sur les autres. Mais des forces obscures s’immiscent entre eux pour les diviser. Pendant ce temps, le monde des sorciers est devenu dangereux pour tous les ennemis du Seigneur des Ténèbres. La guerre si longtemps crainte a commencé et les Mangemorts de Voldemort prennent le contrôle du ministère de la Magie et même de Poudlard. Ils terrorisent et arrêtent toute personne susceptible de s’opposer à eux. Une proie reste toutefois hors de leur portée, la plus précieuse aux yeux de Voldemort : Harry Potter. L’Élu est alors pourchassé par les Mangemorts qui ont pour ordre de le ramener à leur maître…vivant.
Le seul espoir d’Harry est de retrouver les Horcruxes avant que Voldemort ne les trouve. Dans sa quête d’indices, il découvre un conte ancien, quasiment oublié : la légende des Reliques de la Mort. Si cette légende se révélait réalité, elle pourrait donner à Voldemort le pouvoir absolu qu’il recherche.
Ce que Harry ne sait pas, c’est que son avenir a été décidé par son passé, le jour fatidique où il est devenu « le survivant ». Harry Potter, qui n’est décidément plus un enfant, se rapproche toujours plus de la tâche à laquelle il se prépare depuis son premier jour à Poudlard : l’ultime bataille contre Voldemort.
Casting : Daniel Radcliffe, Rupert Grint, Emma Watson, Helena Bonham Carter, Robbie Coltrane, Tom Felton, Ralph Fiennes, Brendan Gleeson, Richard Griffiths, John Hurt, Jason Isaacs, Helen McCrory, Bill Nighy, Miranda Richardson, Alan Rickman, Maggie Smith, Timothy Spall, Imelda Staunton, David Thewlis, Julie Walters et Bonnie Wright.
Réalisateur : David Yates
La conclusion d’une aventure livresque en 2 petites heures et 10 minutes qui sont passées bien trop vite.
Entrons dans le vif du sujet, Harry Potter, le petit sorcier qui a fait rêver toute une génération revient sur grand écran pour ce dernier opus, second volet des reliques de la mort, première partie sortie en Novembre dernier. Une ambiance sombre et lourde nous cueille dès le départ, une confrontation épique s’annonce avec le génie du mal, celui dont on ne doit pas prononcer le nom.
En repartant de l’intrigue du premier volet, nous reprenons le rythme de l’action, un rythme cadencé par la plus belle chasse aux bibelots cinématographique ever. Horcruxes après Horcruxes, Harry et ses compagnons prennent le dessus sur Lord Voldemort. Sans contre-temps, nous alternons entre action pure, flashback et passages romantiques. Des passages romantiques qui ne gâchent rien, après plus de dix ans, nous avons de vieux amis devant nous, « oh c’est trognon » serait une formule adaptée à ce que l’on ressent.
Des péripéties, puis le dénouement : la méga bataille entre le bien et le mal. Poudlard se transforme en camp retranché dans l’attente des Mangemorts. Dès le début de la séquence, on se dit que ça va être quelque chose, et bien pas déçu ! Du grand spectacle ! Un champ de bataille où les sorts sont jetés, où les pierres du chateau volent et s’écrasent avec fracas, une nuit dantesque au centre de formation des jeunes sorciers. Nous sortons de la nuit transis par les événements et dans l’attente de l’issue fantastique de la saga.
Un deus ex machina bien ficelé qui ravira les petits comme les grands.
Une mention spéciale à Alan Rickman, alias Severus Rogue (ou Snape, tout dépend de la version ) qui nous fait le détester autant que l’on puisse l’aimer. Grand acteur de l’intrigue et un jeu à vous glacer le sang, excellent !
Un dernier petit mot sur la 3D, c’est un des premiers films où je me dis : « ah oui, ils n’ont pas abusé sur les effets, c’est juste et bien dosé ». Un bon point qui s’ajoute aux dizaines d’avant.
Note : 8/10
Public : tout public
Bande annonce :