Critique Cinéma : Les Beaux Jours

Critique Cinéma : Les Beaux Jours

Les Beaux Jours est un film de Marion Vernoux, une adaptation de « Une Jeune Fille aux Cheveux Blancs » de Fanny Chesnel, l’écrivaine a co-scénarisé le film avec la réalisatrice.

Le film sortira en salle le 19 juin 2013.

Synopsis : Des beaux jours ? Caroline, fraîchement retraitée, n’a que ça devant elle : du temps libre et encore du temps libre. La belle vie ? Pas si simple… Comment alors tout réinventer ? Transgresser les règles, provoquer de nouvelles rencontres, ou bien simplement remplir son agenda ? A moins que tout soit déjà là ?…

Casting : Fanny Ardant, Laurent Lafitte, Patrick Chesnais

Critique Cinéma : Les Beaux Jours

Caroline est à la retraite, ses filles lui ont offert un abonnement découverte au club de vieux de la ville. Au programme poterie, gymnastique, théâtre… avec des profs qui prennent les vieux pour des débiles. Ancienne dentiste, ça ne va pas lui plaire jusqu’à ce qu’elle rencontre l’intriguant prof d’Informatique…

Le duo Fanny Ardant / Laurent Lafitte fonctionne très bien à l’écran. Elle, bien usée et lui encore très frais et fringuant. Chacun puisant dans l’énergie ou la sagesse de l’autre. Lafitte est toujours aussi bon, dans le charme, la drague !

On va vivre les premiers pas dans la nouvelle vie de cette femme, de la rencontre avec le petit jeune aux conflits avec son mari. Un joli scénario, certes très simple mais qui fonctionne chez le grand public. Entre drame et comédie, on découvre les difficultés de devenir vieux alors qu’on ne le veut pas.

Critique Cinéma : Les Beaux Jours

Le film fait aussi une grosse pub à Citroën avec sa voiture : En ville, sur la plage, maîtrise de la conduite ^^ Je l’ai trouvée un peu trop exposée la voiture!

C’est un film où on voit Fanny Ardant sabrer le vin au couteau, boire du vin rouge tout en fumant un joint et en mangeant des Granola.

C’est un bon petit film qui détend, très gentillet. A noter aussi une BO au piano très agréable ainsi que la reprise de « Le vent vous portera » de Sophie Hunger ou encore « Les mots bleus » de Christophe.

Ma note : 6/10