[Critique Cinéma] Baikonur avec Marie de Villepin

[Critique Cinéma] Baikonur avec Marie de Villepin

Baikonur est un film de Veit Helmer qui était présenté au Festival de Cabourg 2013. Il sort au cinéma le 23 octobre 2013.

Synopsis : Au Kazakhstan, les habitants ont pour coutume de récupérer les débris des fusées lancées de la base de Baikonur. Lorsque « Gagarine », jeune paysan passionné d’astronomie, découvre près de chez lui une jolie spationaute française (Marie de Villepin, dans son premier grand rôle), il la considère comme sa fiancée. Cela est d’autant plus facile que celle-ci a perdu la mémoire. Mais même le plus romantique des mensonges ne peut demeurer secret pour toujours.

Casting : Alexander Asochakov, Marie de Villepin, Sitora Farmonova

[Critique Cinéma] Baikonur avec Marie de Villepin

Amour et espace, un jeune garçon tombe amoureux de la cosmonaute Française Julie. Quand elle revient sur terre il est le premier à trouver son module et va l’emmener avec lui.

Nouvelle apparition à l’écran de Marie de Villepin (Fille de) et cette fois si dans le rôle d’une française qui part dans l’espace et fini chez dans un village du Kazakhstan. Avec le très talentueux Alexander Asochakov qui joue l’amoureux éperdu, il très belle prestation surtout face à la dureté de Marie de Villepin.

Le film est assez beau et doux, il parle d’un peuple qui souffre, d’un garçon qui rêve d’une autre vie. Il y a un côté très poétique au film avec cette princesse tombée du ciel, avec ce prince et sa radio !

[Critique Cinéma] Baikonur avec Marie de Villepin

On en profite au passage pour visiter la base spatiale de Baikonur, visiter les bâtiments délabrés, … symboles d’une grandeur perdue et aussi une découverte de la loi qui permet au kazakhe de devenir prorpiétaire des débris de navettes spatiales qu’ils trouvent. Le marché, la revente, la course aux débris prends une grande part de la vie de se peuple qui risque de mourir à chaque lancement.

Baikonur, c’est une très belle histoire, pleine de défaut mais qui a un charme certain. On passe un très bel instant devant cette histoire d’amour, devant la vie de ce peuple.

Ma note : 6/10 romance spatiale en terre Kazakhe.