Craquer on ne pas craquer?

machine bleue

J’ai beau être 300% geekette, je n’en demeure pas moins, à l’instar de maints auteur(e)s fétichiste de la machine à écrire. On trouve facilement ce genre de joujoux sur la toile, voire en brocantes, mais j’ai toujours vaillamment résisté à la tentation sous prétexte que les seize mètres carrés qui me font office de bureau sont déjà envahis de bouquins et autres bidules pas forcément utiles. Oui, mais ça c’était avant. Urban Outfitters veut ma peauuuuu!  ;-)

Avant de s’appeler Mac ou PC, les joujoux extras des auteurs de tous bords avaient pour noms Remington, Olympia, Underwood ou Olivetti. Si elles sont massivement tombées en désuétude avec l’avènement de l’ère informatique, les bonnes vieilles machines à écrire sont encore utilisées par quelques irréductibles romanciers ou scénaristes par nostalgie, voire militantisme.

Je dois bien reconnaitre que mon envie de machine à écrire est juste ridicule, dans la mesure où je ne l’utiliserais presque jamais. Mon bureau est über encombré et je m’apprête à déménager dans un appartement où il n’y aura plus de pièce dédiée à l’écriture, bref je ne vois que de mauvaises raisons pour succomber aux charmes de cette délicieuse Imperial 200 vintage que propose Urban Outfitters, et pourtant… 

Non, parce que je n’achète pas que des shoes et des bouquins voyez vous. Saurai-je raison garder? A suivre dans un prochain épisode, sur Twitter et Instagram.

PS: on trouve maintes machines à écrire sur ebay et Price Minister, je dis ça, je ne dis rien… ;-)

Copyright©Nathalie Lenoir 2014