Un milliard, cent cinquante millions et sept cent mille dollars… Un nombre qui fait tourner la tête. En même temps, c’était couru d’avance que Fast and Furious 7 serait un succès. Entre un cinquième et un sixième opus dévastateurs, qui remontaient la saga dans des sommets inespérés, et la tragique disparition de l’une de ses têtes d’affiche, le film lorgnait sérieusement vers le petit milliard de recettes mondiale.
Ce qu’on avait pas prévu, c’était l’effet « écrasement ». « Démolition total ». Car Fast and Furious 7 a non seulement dépassé le milliard, mais se permet au passage des records hallucinants de parts et d’autres du monde.
PREMIER… PARTOUT !
Aussi Fast que Furious, l’équipe de Vin Diesel s’acharne également ailleurs : en France, le film est passé à 3 millions de spectateurs en deux semaines – ce qui en fait l’épisode le plus lucratif, dépassant le précédant record de Fast and Furious 6 et ses 2.994.362 millions -, et en Chine, qui est devenu un marché ultra porteur, le film de James Wan avait, dès le premier jour, cumulé plus de 63 millions de dollars (le record était détenu par Transformers : l’âge de l’extinction avec 36 « petits » millions ! La claque !). A ce jour, le film a rapporté 250.000 millions rien que dans ce pays.
AUCUNE 3D !
D’ici là, Fast and Furious 7 a le temps d’atteindre les 1 milliard 500 millions du premier Avengers, et se faufilerait ainsi à la troisième place, juste avant Titanic et Avatar. Les chiffres du troisième week-end vont bientôt tomber, voyons ce qu’il va advenir…
TRISTE CONSTAT…
Seulement, on est persuadé que les chiffres du film aurait pu en arriver même là sans ça. Peut-être pas en autant de temps, mais il aurait franchement pu car les critiques sont en moyenne excellentes, et que la promo d’Universal n’a jamais joué à outrance sur la perte de l’acteur.
En attendant, vous pouvez retrouver notre critique du film ici, et la bande-annonce en dessous :