Et l'aventure continue...
A l’issue de « Le tigre de Bengale », nous avions laissé l’architecte français et la belle danseuse métis dans le désert. A leurs trousses, les troupes du Maharadja ; ils sont aussi pistés par le frère du Maharadja qui compte bien se servir d’eux pour renverser le régime à son profit… Et au centre des débats, les amours entre la belle Sïtha et l’élégant architecte français.Fritz Lang, taxé de kitch avec ce dytique, réalise une aventure riche en rebondissements dans laquelle toutes les intrigues s’imbriquent parfaitement… et ceci dans en seul centre névralgique : les galeries sous le palais. Belle photo avec exploitation absolue du Technicolor. Kitch, un peu ; mais il ne faut pas s’y tromper, Lang exploite à fond le feuilletonesque et le graphisme BD. Nous sommes proches de Tintin et d’Indiana Jones. On peut regretter un jeu un peu appuyé de certains acteurs, surtout dans ce second opus.Par contre, l’envoutante Debra Paget offre à nouveau une danse d’un érotisme osé pour l’époque et qui fera des émules. Face au serpent se dressant devant elle, si peu vêtue, se contorsionnant avec volupté ; cette scène alliée à son pendant du premier film font regretter qu’elle arrêta sa carrière cinématographique prématurément.Un bon film d’aventure familiale sans aucune prétention.
Sorti en 1959
A l’issue de « Le tigre de Bengale », nous avions laissé l’architecte français et la belle danseuse métis dans le désert. A leurs trousses, les troupes du Maharadja ; ils sont aussi pistés par le frère du Maharadja qui compte bien se servir d’eux pour renverser le régime à son profit… Et au centre des débats, les amours entre la belle Sïtha et l’élégant architecte français.Fritz Lang, taxé de kitch avec ce dytique, réalise une aventure riche en rebondissements dans laquelle toutes les intrigues s’imbriquent parfaitement… et ceci dans en seul centre névralgique : les galeries sous le palais. Belle photo avec exploitation absolue du Technicolor. Kitch, un peu ; mais il ne faut pas s’y tromper, Lang exploite à fond le feuilletonesque et le graphisme BD. Nous sommes proches de Tintin et d’Indiana Jones. On peut regretter un jeu un peu appuyé de certains acteurs, surtout dans ce second opus.Par contre, l’envoutante Debra Paget offre à nouveau une danse d’un érotisme osé pour l’époque et qui fera des émules. Face au serpent se dressant devant elle, si peu vêtue, se contorsionnant avec volupté ; cette scène alliée à son pendant du premier film font regretter qu’elle arrêta sa carrière cinématographique prématurément.Un bon film d’aventure familiale sans aucune prétention.
Sorti en 1959