• Acteurs : Jonny Weston, Sofia Black-D’Elia, Sam Lerner, Allen Evangelista, Virginia Gardner
• Réalisateurs : Dean Israelite
• Format : Couleur, Plein écran, Cinémascope, PAL
• Audio : Anglais (Dolby Digital 5.1), Français (Dolby Digital 5.1)
• Sous-titres : Français, Anglais, Néerlandais
• Région : Région 2
• Rapport de forme : /
• Nombre de disques : 1
• Studio : Paramount Pictures
• Date de sortie du DVD : 22 juillet 2015
• Durée : 102 minutes

Cette édition contient :

• Le DVD du film

Le DVD contient les Bonus suivants:

• Début alternatif
• Fins alternatives
• Scènes coupées

Le Film :

L’image :

Le Son :

Les Bonus :

Packaging

La 3D

Les Bonus:

Les bonus du DVD sont assez minces, mais tout de même notables. Nous disposons d’un début alternatif et de deux fins alternatives. Au milieu de tout cela, nous avons neuf scènes coupées, qui ne sont pas les plus intéressantes mais qui offrent une vision quelque peu différente de ce qu’aurait pu être le film. Nous regrettons toutefois l’absence de secrets de tournage, ainsi que d’interviews croisées des acteurs et de l’équipe technique. 

Le début alternatif n’est pas vraiment essentiel et plein de maladresses. Il ne parvient pas à s’imposer face à l’introduction déjà présente dans le film, beaucoup plus utile et offrant bien plus d’opportunité pour la suite de l’intrigue.

Les deux fins alternatives sont, quant à elles, assez intéressantes. La première intitulée « Aller quelque part » ne se foule pas trop et reprend une scène déjà présente dans le film. Elle ne s’avère pas très utile pour une éventuelle suite. Par contre, la seconde scène intitulée « L’anniversaire de mes 7 ans » reprend une scène majeure du film en y changeant un élément important et pouvant ouvrir un tas d’éventuels changements pour une suite. 

Les neuf scènes coupées apportent quelques changements mais l’ensemble du film part dans la même direction que la version cinéma/DVD. Des passages drôles auraient pu être présents, tout comme des scènes retravaillées différemment pour une toute autre approche du film.

Le Film:

Projet Almanac possède une idée générale mal gérée et exploitée, mais tout de même bien pensée de la part de Dean Israelite. L’utilisation omniprésente du found-footage est assez bien employée, mais la construction narrative du film apporte des faux-raccords, des incohérences et beaucoup de maladresses.

La touche Michael Bay est mince mais bien présente avec des jolies petites explosions et des placements de produits. Les acteurs, peu connus, jouent le rôle mais ont encore beaucoup de travail à faire. 

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