La colérique dans le métro
Parce qu’on l’a tous croisée…
Je veux bien qu’il y ait des matins difficiles, où tout va de travers et qu’on puisse être énervé. Je resitue la ligne 14 pour ceux qui ne connaissent pas : c’est une rame qui n’est pas fermée, c’est-à-dire que vous pouvez circuler librement dans la rame, puisqu’il n’y pas de porte entre les wagons.
J’entre tranquillement, je me dirige vers une place libre, je prends le temps de poser mon gros sac sous le siège avant mon fessier, mais durant ma manœuvre, une femme qui était derrière moi m’a limite bousculée, en grommelant des choses, énervée et pressée, tout ça pour… aller s’asseoir à une place vacante quelques mètres plus loin.
Il nous est tous arrivé de bousculer les gens pour ENTRER dans le métro, pas pour aller s’asseoir à une place, parmi toutes celles qu’il y avait et sans que le métro soit blindé. Je me suis senti frustrée en plus, elle ne s’est pas retournée pour que je lui dise un mot sympathique, elle a néanmoins reçu mon regard quand elle a daigné me regarder de son siège.
Encore une mal réveillée quoi !
À éradiquer au lance-flammes !
Bonus : La nana qui te marche sur ta sandale (au point que j’ai cru qu’elle allait se casser) et qui ne s’excuse pas, levant les bras l’air de dire : « t’as qu’à pas passer devant moi ». T’as qu’à pas me foncer dessus, c******* !