La blonde, angélique et innocente Sabine De Barra, jardinière de son état est embauchée par Le Nôtre pour contribuer à la création des jardins de Versailles et notamment au jardin de rocaille.Face à la blonde est la perfide brune, épouse de Le Nôtre qui fera tout pour briser l’idylle naissante entre Madame De Barra et son mari.Prendre l’histoire de France et y coller une guimauve romantique adéquate est assez courant chez nos voisin anglo-saxons et vaut mieux en sourire.D’emblée, l’acteur anglais s’évertue à prononcer la kyrielle de mots français obligatoires avec la hauteur nécessaire de perruques puis comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, le réalisateur s’octroie le rôle de Louis XIV et s’offre des libertés avec l’histoire…Allez, je reconnais que je n’ai eu d’yeux que pour Matthias Schoenaerts pendant près de 2 heures.L’acteur belge aussi à l’aise dans la langue de Shakespeare que dans celle de Molière est certainement le seul à se balader dans ce film 17e siècle sans perruque, avec une barbe de trois jours alors qu’il est censé avoir près de 50 ans ! Sans doute est-ce pour s’accorder avec la coiffure « dans le vent » de Kate Winslet qui n’en finit pas de minauder sans en avoir l’air.Comédie romantique sur fond insipide. Pour une bio complète sur le jardinier Le Nôtre
Les Jardins du roi d'Alan Rickman
L'auteur de l'article : Dominique Chailan
Voir l'article originalAutrice, Réalisatrice, Raconteuse d'Histoires
La blonde, angélique et innocente Sabine De Barra, jardinière de son état est embauchée par Le Nôtre pour contribuer à la création des jardins de Versailles et notamment au jardin de rocaille.Face à la blonde est la perfide brune, épouse de Le Nôtre qui fera tout pour briser l’idylle naissante entre Madame De Barra et son mari.Prendre l’histoire de France et y coller une guimauve romantique adéquate est assez courant chez nos voisin anglo-saxons et vaut mieux en sourire.D’emblée, l’acteur anglais s’évertue à prononcer la kyrielle de mots français obligatoires avec la hauteur nécessaire de perruques puis comme on n’est jamais mieux servi que par soi-même, le réalisateur s’octroie le rôle de Louis XIV et s’offre des libertés avec l’histoire…Allez, je reconnais que je n’ai eu d’yeux que pour Matthias Schoenaerts pendant près de 2 heures.L’acteur belge aussi à l’aise dans la langue de Shakespeare que dans celle de Molière est certainement le seul à se balader dans ce film 17e siècle sans perruque, avec une barbe de trois jours alors qu’il est censé avoir près de 50 ans ! Sans doute est-ce pour s’accorder avec la coiffure « dans le vent » de Kate Winslet qui n’en finit pas de minauder sans en avoir l’air.Comédie romantique sur fond insipide. Pour une bio complète sur le jardinier Le Nôtre