Frank Walker (George Clooney), inventeur, va devoir sauver le monde (sic) de son futur qui s’annonce sombre et destructeur avec une adolescente optimiste et fonceuse, Casey Newton. Pour cela, ils vont unir leurs génies et aller là où tout est possible, Tomorrowland. Si l’intention des auteurs me semble claire : « notre futur nous appartient et il ne tient qu’à nous de ne pas se laisser aller au pessimisme », j’ai des difficultés à suivre le pourquoi du comment. Tout d’abord pour ne laisser personne sur sa faim, George Clooney apparait dès le début dans un enregistrement qui veut marquer le ton : comédie. On l’a vu, le public adulte est content ! C’est une manière d’introduire Franck enfant et une mystérieuse Athéna qui l’accompagne Frank comme elle va le faire avec Casey des années plus tard. Entretemps, il y a eu force explosions, et entrée en scène de mystérieux robots à notre image. Casey a eu, elle, grâce à un pin’s des visions futuristes d’une cité gratte-ciel avec force moyens de transports et défis de la gravité tout autant plus fous les uns que les autres. Et elle a envie d’en savoir plus. Quant à moi, j’ai l’impression d’assister aux délires d’auteurs qui ont voulu caser des tas d’idées sans me donner une véritable histoire. Je le regrette parce que la science-fiction est parfois difficile à comprendre mais là, je suis en plus perturbée par un spectacle qui m’éloigne du pourquoi que le personnage de Casey essaie avec énergie de faire revenir sur le devant de la scène… sans véritable réponse ! Et puis, cette gloire à Disney ! Est-ce que c’était forcé de visiter le parc et de subir la pire attraction ! Les blagues tombentà plat (en ce qui me concerne en tout cas) ou bien est-ce dû à la VF à laquelle je n’ai pas pu échapper ?A force de faire des mystères et ménager des suspens pour l’héroïne, je n’ai plus très envie de suivre non plus. De fait, je m’attache aux personnages comme Casey ou Athéna – pas le méchant même si c’est Hugh Laurie et pourtant il y avait un potentiel ! – et je suis peinée de retrouver les mêmes clichés que dans beaucoup de films : bagarres incroyables, candeur et éblouissement de l’héroïne, inventions à la goonies, placement de marques, feux d’artifice d’effets spéciaux conçus pour la 3D, j’imagine, mais aussi costumes surprenants de banalité et surtout étonnamment mal choisis comme celui de Nix (Hugh Laurie) qui a du mérite à garder son sérieux avec une culotte bouffante pour laquelle je fais une fixette ( ?!)Bref, je suis sortie perplexe de la salle et si l’amusement viendra pour le jeune public, ça restera un film popcorn qui s’oubliera assez vite. Dommage pour les quelques bonnes trouvailles et le personnage de Raffey Cassidy (Athéna) qui est celui que j’ai préféré.
Frank Walker (George Clooney), inventeur, va devoir sauver le monde (sic) de son futur qui s’annonce sombre et destructeur avec une adolescente optimiste et fonceuse, Casey Newton. Pour cela, ils vont unir leurs génies et aller là où tout est possible, Tomorrowland. Si l’intention des auteurs me semble claire : « notre futur nous appartient et il ne tient qu’à nous de ne pas se laisser aller au pessimisme », j’ai des difficultés à suivre le pourquoi du comment. Tout d’abord pour ne laisser personne sur sa faim, George Clooney apparait dès le début dans un enregistrement qui veut marquer le ton : comédie. On l’a vu, le public adulte est content ! C’est une manière d’introduire Franck enfant et une mystérieuse Athéna qui l’accompagne Frank comme elle va le faire avec Casey des années plus tard. Entretemps, il y a eu force explosions, et entrée en scène de mystérieux robots à notre image. Casey a eu, elle, grâce à un pin’s des visions futuristes d’une cité gratte-ciel avec force moyens de transports et défis de la gravité tout autant plus fous les uns que les autres. Et elle a envie d’en savoir plus. Quant à moi, j’ai l’impression d’assister aux délires d’auteurs qui ont voulu caser des tas d’idées sans me donner une véritable histoire. Je le regrette parce que la science-fiction est parfois difficile à comprendre mais là, je suis en plus perturbée par un spectacle qui m’éloigne du pourquoi que le personnage de Casey essaie avec énergie de faire revenir sur le devant de la scène… sans véritable réponse ! Et puis, cette gloire à Disney ! Est-ce que c’était forcé de visiter le parc et de subir la pire attraction ! Les blagues tombentà plat (en ce qui me concerne en tout cas) ou bien est-ce dû à la VF à laquelle je n’ai pas pu échapper ?A force de faire des mystères et ménager des suspens pour l’héroïne, je n’ai plus très envie de suivre non plus. De fait, je m’attache aux personnages comme Casey ou Athéna – pas le méchant même si c’est Hugh Laurie et pourtant il y avait un potentiel ! – et je suis peinée de retrouver les mêmes clichés que dans beaucoup de films : bagarres incroyables, candeur et éblouissement de l’héroïne, inventions à la goonies, placement de marques, feux d’artifice d’effets spéciaux conçus pour la 3D, j’imagine, mais aussi costumes surprenants de banalité et surtout étonnamment mal choisis comme celui de Nix (Hugh Laurie) qui a du mérite à garder son sérieux avec une culotte bouffante pour laquelle je fais une fixette ( ?!)Bref, je suis sortie perplexe de la salle et si l’amusement viendra pour le jeune public, ça restera un film popcorn qui s’oubliera assez vite. Dommage pour les quelques bonnes trouvailles et le personnage de Raffey Cassidy (Athéna) qui est celui que j’ai préféré.