Ce film sous-titré « fantaisie de Robert Guédigan » présente Ariane qui se retrouve seule le jour de son anniversaire. Son mari est ses enfants ne peuvent pas se libérer. Elle prend sa voiture et part à l’aventure mais la liberté pour elle s’avère laborieuse et difficile. C’est le décor de la côte marseillaise et la « famille » du réalisateur qui sont au centre de ce film avec la lumineuse et belle Ariane Ascaride, tour à tour attendrissante, joyeuse, aimante, imaginative, généreuse mais toujours partante. Je me suis régalée avec ce « film » avec une Ariane Ascaride que j’avais laissé dans son dernier rôle dans le film « Les Héritiers » en prof un peu stricte d’allure et qui est ici en tenue d’été plus jolie que jamais. Sa balade va la mener vers des gens comme Gérard Meylan ou Anaïs Demoustier, tous pittoresques et plein de vie, de contradiction mais surtout heureux et jamais abattus. Tout est beau : la lumière, les robes qui virevoltent, le décor naturel de la côte, les visages des acteurs illuminés, leurs aventures extraordinaires dans le quotidien, le message d’optimisme de Guédiguian et la fin, inattendue mais plus que plaisante. « Farce » on aurait dit du temps de Molière.
Au fil d'Ariane de Robert Guédiguian
L'auteur de l'article : Dominique Chailan
Ce film sous-titré « fantaisie de Robert Guédigan » présente Ariane qui se retrouve seule le jour de son anniversaire. Son mari est ses enfants ne peuvent pas se libérer. Elle prend sa voiture et part à l’aventure mais la liberté pour elle s’avère laborieuse et difficile. C’est le décor de la côte marseillaise et la « famille » du réalisateur qui sont au centre de ce film avec la lumineuse et belle Ariane Ascaride, tour à tour attendrissante, joyeuse, aimante, imaginative, généreuse mais toujours partante. Je me suis régalée avec ce « film » avec une Ariane Ascaride que j’avais laissé dans son dernier rôle dans le film « Les Héritiers » en prof un peu stricte d’allure et qui est ici en tenue d’été plus jolie que jamais. Sa balade va la mener vers des gens comme Gérard Meylan ou Anaïs Demoustier, tous pittoresques et plein de vie, de contradiction mais surtout heureux et jamais abattus. Tout est beau : la lumière, les robes qui virevoltent, le décor naturel de la côte, les visages des acteurs illuminés, leurs aventures extraordinaires dans le quotidien, le message d’optimisme de Guédiguian et la fin, inattendue mais plus que plaisante. « Farce » on aurait dit du temps de Molière.