La vie de ma mère... 2
Un éventail de pieds noirs juifs hauts en couleur dans les rues du sentier se confronte frontalement à l’ogre de la grande distribution. Cet ogre est incarné par un Daniel Prévost de haut vol, un des acteurs majeurs de cette comédie populaire. Cette intrigue centrale permet d’instaurer un suspense jusqu’à un climax final astucieux. Autour de ce fil rouge se greffe des histoires de familles, de cœur et d’affaires en tout genre. Au cœur de la thématique familiale, deux à trois acteurs dopent sérieusement le film : le survolté José Garcia excelle à faire du Garcia, Enrico Macias en patriarche juif caricatural, et pourquoi pas ajouter Gad Elmaleh assez juste. Le reste du casting est assez pauvre ; en tête, Anconina qui n’est crédible que dans le désarroi avec ses yeux de chien battu pour la révolte tu repasseras.C’est populaire, drôle, hyper rythmé et surtout super bien écrit et dialogué ; ils ne faut pas craindre la surenchère caricaturale bien entendu. Mais on rit alors très souvent. L’énergie est omniprésente ; là où la mise en scène est invisible. Thomas Gillou n’a rien fait mis à part cette trilogie... pas étonnant, la mise scène n’est pas loin de la sitcom.A revoir juste pour une bonne soirée de détente.
Sorti en 2001
Un éventail de pieds noirs juifs hauts en couleur dans les rues du sentier se confronte frontalement à l’ogre de la grande distribution. Cet ogre est incarné par un Daniel Prévost de haut vol, un des acteurs majeurs de cette comédie populaire. Cette intrigue centrale permet d’instaurer un suspense jusqu’à un climax final astucieux. Autour de ce fil rouge se greffe des histoires de familles, de cœur et d’affaires en tout genre. Au cœur de la thématique familiale, deux à trois acteurs dopent sérieusement le film : le survolté José Garcia excelle à faire du Garcia, Enrico Macias en patriarche juif caricatural, et pourquoi pas ajouter Gad Elmaleh assez juste. Le reste du casting est assez pauvre ; en tête, Anconina qui n’est crédible que dans le désarroi avec ses yeux de chien battu pour la révolte tu repasseras.C’est populaire, drôle, hyper rythmé et surtout super bien écrit et dialogué ; ils ne faut pas craindre la surenchère caricaturale bien entendu. Mais on rit alors très souvent. L’énergie est omniprésente ; là où la mise en scène est invisible. Thomas Gillou n’a rien fait mis à part cette trilogie... pas étonnant, la mise scène n’est pas loin de la sitcom.A revoir juste pour une bonne soirée de détente.
Sorti en 2001