Ou l'une des productions du cinéma ricain les plus rocambolesques de ses dernières années...
Natalie Portman n'aurait pas des liens de parenté avec le génial Terry Gilliam ?
La question est légitime quand on s'arrête trente secondes sur l'accumulation proprement extraordinaire de rebondissements en tout genre qu'aura connu la production ambitieuse de l'actrice oscarisée pour Black Swan.
Après les départs de Michael Fassbender (la faute à un emploi du temps chargé), Bradley Cooper (idem), et ceux plus mouvementés de la réalisatrice Lynne Ramsay et Jude Law (le départ de la madame impliqua celui du monsieur), puis les arrivées en grande pompe de Gavin O'Connor à la réal et de Ewan McGregor dans la peau du grand méchant (en lieu et place de Law, Cooper et Joel Edgerton, qui lui récupéra le rôle du gentil laissé vacant par Fassbender... vous suivez toujours ?); le film a finalement pu se tourner il y a plus d'un an et demi maintenant.
Mais depuis que dalle, Jane Got A Gun peinait à trouver son chemin dans les salles obscures jusqu'à ce que l'on apprenne il y a peu que la France aura l'heureux honneur d'ouvrir les hostilités de sa sortie d'ici le 25 novembre prochain, sous la bannière de Mars Distribution.
Tout ça sans que le moindre trailer n'est pointé le bout de son nez...
" Natalie Portman incarne Jane Hammond, jeune femme droite mariée à un hors-la-loi, Bill.
Lorsque Bill trahit son gang, les Bishop Boys, il se voit attaqué par ces derniers, qui lui plombent le corps de huit balles.
Jane prend alors les armes et pour faire face à la vengeance du leader des Bishop, John Bishop (Ewan McGregor), elle fait appel à son ancien amant Dan Frost (Joel Edgerton), le dernier espoir de survie de sa famille.
Un homme dont la haine pour Bill n'a d'égal que son amour pour Jane. "
