Knock Knock

Par Cinevu @cinevu

Réalisation Eli Roth 2015 

Knock Knock… Il n’y a personne, repassez demain

Une version bas de gamme de Funny-Game, sauf que ce sont de vilaines filles qui mettent le bordel chez Mr Tout le Monde. Oui l’homme est faible et le message est passé mais comment résister à deux bimbos endiablées.

Keanu Reeves, brave type, en fait les frais et s’en suit une nuit de cauchemar. Seulement voilà on y croit pas une seconde, les gonzesses sont grotesques et la mascarade est téléphonée. De plus quelques grosses bévues dans le scénario comme le crime imprévu de l’agent artistique qui passe à l’as. La punition est loin d’être à la hauteur du crime commis soit une « partie de jambes en l’air »  improvisée un WE sans maman et les enfants.

Un remake brouillon et une réalisation digne d’un film pour ados attardés. Un casting avec le clone de Paris Hilton et une de ses copines en psychopathe.

Keanu Reeves, dépassé par la situation, est inexpressif façon poisson rouge. J’ai perdu 1h30 et le prix de la place. La fin est à la hauteur du film sans intérêt. Messieurs la messe est dîte: soyez fidèle à bobonne.

Synopsis Télérama Knock Knock : Evan Webber a tout pour être heureux : une famille aimante et un métier, architecte, qu’il adore. Un week-end, son épouse et ses enfants quittent la maison, le laissant seul, débordé de travail. Le soir venu, Bel et Genesis frappent à sa porte. Leur téléphone portable ne fonctionne plus et elles doivent passer un coup de fil. Trempées, les deux jeunes femmes partent se changer dans la salle de bains. Elles y attirent Evan, qui finit par céder à leurs avances. Evan n’est pas fier de lui, mais pense à tort être débarrassé d’elles. Or, elles vont lui faire vivre un enfer : elles reviennent, le séquestrent et sont bien décidées à lui faire payer son hyprocrisie…