Woody Allen, cru 2015 : il sait faire des films notre cher Woody... Oui, d'accord. Et toujours avec sa thématique favorite : une jeune fille qui tombe amoureuse d'un vieil intellectuel... enfin pas si vieux dans celui-çi. Cela ne vous rappelle rien ? Si : Whatever Works, Manhattan et j'en passe... Bref, même si l'intrigue nous remémore par certains aspects Match Point (surtout le final), L'homme irrationnel n'a pas le "panache" de son prédécesseur. Le film se perd dans une histoire vue et revue avec une musique jazzy redondante saupoudrée d'une voix-off franchement inutile. Alors oui, le travail de la mise en scène (Emma Stone, si belle) et de la photographie sont toujours aussi plaisants à voir mais malheureusement cela ne fait pas tout.
Petite déception. Allez, on se dit à l'année prochaine, Woody ?
~
Bon, je vais (enfin on verra) peut-être faire des chroniques vidéo pour rattraper tout ce retard de chroniques... si j'arrive bien sûr à mettre la main sur un logiciel vidéo où l'image ne tréssaute pas sans cesse...
Bref, à suivre.