Je sais, ce dessin animé date mais je trouvais qu’il était à propos. Aujourd’hui, je vous propose un nouvel article qui dressera la liste de mes emprunts à la médiathèque. Aussi bien les livres que les films d’ailleurs!
Avant de rentrer dans le vif du sujet, j’aimerai vous apporter quelques précisions sur l’emprunteuse que je suis. Je n’aime pas aller à l’improviste à la médiathèque sans savoir quoi choisir. Non, je n’aime pas flâner entre les rayonnages. Moi ce que j’aime c’est regarder au préalable le catalogue disponible sur le site internet et faire ma liste. Ainsi, quand j’arrive dans le lieu je sais où je dois aller et je sais ce que je veux.
Et une fois que j’ai tout ce qu’il me faut, je rentre chez moi. Non, je ne peux pas lire dans une médiathèque ni travailler. C’est chez moi que je me sens le mieux pour me lancer dans ce genre d’activités. Donc, on me verra pas éterniser en général.
Ceci dit, pour les films c’est souvent différent. Et scruter les rayonnages se révèle pénible et éreintant. Et, je ne parle même pas des CD.
LES LIVRES
Deux livres sur trois trouvés pas mal non?
*La face cachée de Margo de John Green.
Résumé:Margo Roth Speigelman, le nom aux six syllabes qui fait fantasmer Quentin depuis toujours. Alors forcément, quand elle s’introduit dans sa chambre, une nuit, par la fenêtre ouverte, pour l’entraîner dans une expédition vengeresse, il la suit.
Mais au lendemain de leur folle nuit blanche, Margo n’apparaît pas au lycée, elle a disparu. Quentin saura-t-il décrypter les indices qu’elle lui a laissés pour la retrouver ? Plus il s’en rapproche, plus Margo semble lui échapper…
A mon avis, les livres de John Green sont ceux qui sont le plus empruntés tant il m’a été difficile de pouvoir le faire moi-même. Succès accru par la récente adaptation cinématographique avec notamment le mannequin, Cara Delevingne.
Ayant beaucoup aimé Nos étoiles contraires, je voulais lire une autre œuvre de l’auteur d’autant que je souhaite voir le film pour pouvoir faire un comparatif entre les deux.
* * *
*Le conseiller, tome 2: le pouvoir de Hilary Mantel.
Résumé:1535. Thomas Cromwell a affronté l’Église catholique et la noblesse anglaise pour permettre à son souverain, Henri VIII, de divorcer de Catherine d’Aragon afin d’épouser Anne Boleyn. Nommé ministre en chef, il doit maintenant gouverner un royaume isolé en Europe, au bord de la guerre civile, tout en faisant face à l’opposition de l’aristocratie et du clergé. Sa tâche est d’autant plus complexe qu’Henri VIII, devant l’incapacité d’Anne Boleyn à lui donner un héritier mâle, convoite désormais la jeune Jeanne Seymour. Manipulations, trahisons et intrigues : Cromwell, en fin stratège, va devoir employer tous les moyens pour satisfaire les désirs du roi, sauver la nation… et sa tête par la même occasion. La Cour devient alors le théâtre d’une véritable tragédie sanguinaire, celle des derniers mois d’Anne Boleyn, dont personne ne sortira indemne.
Souvenez-vous, je vous en parlais dans un flash. En effet, j’ai acheté le tome 1 en magasin version Pocket; 900 pages qui ont rendu mes poignets endoloris. Du coup, j’avais envisagé d’acheter la suite en version Kindle sauf que j’ai vu que ma médiathèque l’avait en format normal et en 400 pages.
J’ai adoré le tome 1 d’autant plus qu’en même temps que ma lecture, je visionnais la série Les Tudors. Moi qui voulait en savoir plus sur Thomas Cromwell, je suis servie. Pour ce tome-ci, je retourne en arrière car j’avais pris de l’avance avec la série.Cependant, je pense que je verrai la fin des Boleyn sous un autre angle, plus complet et plus historique aussi sans doute.
En tout cas, j’ai hâte. C’est par lui que je vais commencer je pense!
* * *
*Le tyran domestique de Anne Fine.
Résumé:Bien sûr, Tilly a quelques hésitations lorsqu’elle rencontre Geoff. Beau, intelligent, il semble avoir tout pour lui… et il est père de deux enfants en bas âge. Pour cette jeune femme hors du commun – ingénieur de métier, bravant les tempêtes en haute mer sur des plates-formes pétrolières et collectionnant les amants -, adopter une famille entière relève du défi, ce qui n’est pas sans lui déplaire. Se faire adopter, par contre, est une autre affaire. Surtout lorsqu’on vous octroie le dernier rôle, celui de la belle-mère qui n’a pas son mot à dire et sur qui pèsent tous les torts. De petites mesquineries en méchancetés anodines, les griefs s’accumulent et Tilly, tout comme Geoff, devient experte dans l’art de la manipulation. Et de la vengeance.
C’est le livre qui est l’exception confirmant la règle. Je dis ça parce qu’il n’était pas sur la liste et que je l’ai pris un peu comme ça. Vous seriez étonnés de tous les livres présents sur le catalogue en ligne mais pas en rayon pour moult raisons.
Bref, Anne Fine je la connaissais déjà ( voir ici ); et puis, c’est elle qui a écrit quand même le cultissime Mme Doubtfire (oui oui c’est un roman à la base). J’aime son ton sarcastique, son humour noir quoique parfois déstabilisant. On verra ce que ça donnera ici.
LES FILMS
J’ai eu beaucoup de chance cette fois-ci. En effet, je n’ai pas eu besoin de regarder les rayonnages un à un. Ces quatre films étaient côte à côte sur une étagère » en représentation ». Aussi, je ne me suis pas cassée la tête et je les ai tous pris. Ce qui arrangeait vraiment mes affaires!
*The Lady de Luc Besson.
Synopsis:The Lady » est une histoire d’amour hors du commun, celle d’un homme, Michael Aris, et surtout d’une femme d’exception, Aung San Suu Kyi, qui sacrifiera son bonheur personnel pour celui de son peuple. Rien pourtant ne fera vaciller l’amour infini qui lie ces deux êtres, pas même la séparation, l’absence, l’isolement et l’inhumanité d’une junte politique toujours en place en Birmanie. « The Lady » est aussi l’histoire d’une femme devenue l’un des symboles contemporains de la lutte pour la démocratie.
Troublée par la ressemblance frappante entre Aug San Suu Kyi et Michelle Yeoh et l’histoire en elle-même, j’avais vraiment envie de découvrir ce film. C’était l’occasion!
*Black Swann de Darren Aronofsky.
Synopsis:Rivalités dans la troupe du New York City Ballet. Nina est prête à tout pour obtenir le rôle principal du Lac des cygnes que dirige l’ambigu Thomas. Mais elle se trouve bientôt confrontée à la belle et sensuelle nouvelle recrue, Lily…
Je sais j’ai cinq de retard mais bon que voulez-vous j’étais pas prête. Le suis-je aujourd’hui? Pas sûr mais j’essaierai car forcément ce film m’intrigue.
*The 127 heures de Danny Boyle.
Synopsis:Le 26 avril 2003, Aron Ralston, jeune homme de vingt-sept ans, se met en route pour une randonnée dans les gorges de l’Utah.
Il est seul et n’a prévenu personne de son excursion. Alpiniste expérimenté, il collectionne les plus beaux sommets de la région.
Pourtant, au fin fond d’un canyon reculé, l’impensable survient : au-dessus de lui un rocher se détache et emprisonne son bras dans le mur de rocaille. Le voilà pris au piège, menacé de déshydratation et d’hypothermie, en proie à des hallucinations…
Il parle à son ex petite amie, sa famille, et se demande si les deux filles qu’il a rencontrées dans le canyon juste avant son accident seront les dernières.
Cinq jours plus tard, comprenant que les secours n’arriveront pas, il va devoir prendre la plus grave décision de son existence…
4 ans de retard pour celui-là; pourtant, je voulais le voir recherchant même le livre dont il est tiré. C’est une histoire vraie; et je sais déjà la sacrifice que va devoir faire Aron pour s’en sortir mais bon j’ai toujours envie de voir quand même.
*Polisse de Maiween.
Synopsis:Le quotidien des policiers de la BPM (Brigade de Protection des Mineurs) ce sont les gardes à vue de pédophiles, les arrestations de pickpockets mineurs mais aussi la pause déjeuner où l’on se raconte ses problèmes de couple ; ce sont les auditions de parents maltraitants, les dépositions des enfants, les dérives de la sexualité chez les adolescents, mais aussi la solidarité entre collègues et les fous rires incontrôlables dans les moments les plus impensables ; c’est savoir que le pire existe, et tenter de faire avec… Comment ces policiers parviennent-ils à trouver l’équilibre entre leurs vies privées et la réalité à laquelle ils sont confrontés, tous les jours ? Fred, l’écorché du groupe, aura du mal à supporter le regard de Melissa, mandatée par le ministère de l’intérieur pour réaliser un livre de photos sur cette brigade.
Dés sa sortie, je voulais le voir et pourtant c’est assez rare qu’un film français me fasse de l’œil. Bon, le film a l’air très dur mais en même temps très réussi alors je me suis dit qu’il faut me lancer. Et puis, si je cherchais encore à me convaincre y a Nicolas Duvauchelle.