Ce contexte où les photos ont été prises m'ont beaucoup émue. Leur histoire permet de comprendre la prise de vue mais met aussi en lumière la vie du héros de la Fureur de vivre : émotionnellement chargée et peut-être méconnue. Rien que pour ça, ce film vaut le détour ! Le réalisateur avec son choix de casting, d'angles de point de vue et d'ellipses volontaires, m'amène à une réflexion sur l'image : celui qui la renvoie mais aussi celui qui la fait. A l'heure du numérique qui remplace le temps où ne pas gâcher de la pellicule importait, quelle place pour l'image ? De celle qui restera de nous ? Et comment fait-on pour prendre ces photos ? Au-delà de ces réflexions que le film engendre, c'est la relation entre James Dean et Dennis Stock qui prime. Deux personnalités qui se construisent à (re)découvrir. Et je salue une fois de plus la performance des deux jeunes acteurs ! En salles le 9 septembre 2015
Ce contexte où les photos ont été prises m'ont beaucoup émue. Leur histoire permet de comprendre la prise de vue mais met aussi en lumière la vie du héros de la Fureur de vivre : émotionnellement chargée et peut-être méconnue. Rien que pour ça, ce film vaut le détour ! Le réalisateur avec son choix de casting, d'angles de point de vue et d'ellipses volontaires, m'amène à une réflexion sur l'image : celui qui la renvoie mais aussi celui qui la fait. A l'heure du numérique qui remplace le temps où ne pas gâcher de la pellicule importait, quelle place pour l'image ? De celle qui restera de nous ? Et comment fait-on pour prendre ces photos ? Au-delà de ces réflexions que le film engendre, c'est la relation entre James Dean et Dennis Stock qui prime. Deux personnalités qui se construisent à (re)découvrir. Et je salue une fois de plus la performance des deux jeunes acteurs ! En salles le 9 septembre 2015