J’aurai pu vous parler aussi du film Z for Zachariah de Craig Zobel avec Margot Robbie, Chiwetel Ejiofor et Chris Pine. Cependant, il est déjà sorti depuis le 2 décembre. Malgré les critiques plutôt mitigées, le film me donne envie néanmoins.
Adapté du roman éponyme de Robert C O’Brien ( que je compte lire aussi), son adaptation cinématographique a semble-t-il pris des libertés en introduisant un troisième personnage. En vue des avis, le film semble avoir pris des distances avec la science fiction pour développer davantage la psychologie des personnages sous fond d’univers post apocalyptique.
A voir assurément je pense. En attendant, je vous propose des films qui me tentent mais qui ne sont pas encore sortis. Alors, allons-y:
(Source:hollywoodreporter.com)
*THE REVENANT d’Alejandro Gonzalés Inarritu (25 décembre 2015).
Synopsis Allociné: Dans une Amérique profondément sauvage, le trappeur Hugh Glass est sévèrement blessé et laissé pour mort par un traître de son équipe, John Fitzgerald. Avec sa seule volonté pour unique arme, Glass doit affronter un environnement hostile, un hiver brutal et des tribus guerrières, dans une inexorable lutte pour sa survie, portée par un intense désir de vengeance.
Rien qu’en regardant le casting, on a de quoi être ravi: Dicaprio et Hardy dans un même film ça promet! Soulignons encore une fois, la prestation de Dicaprio qui pourrait une fois encore être nominé pour le rôle de meilleur acteur pour les Oscars ( et repartir une fois encore bredouille). Mais, on y croit on y croit car il y a Alejandro Gonzalés Inarritu derrière la caméra ( vainqueur des Oscars l’année dernière avec un Birdman que je n’ai toujours pas vu).
L’artiste sait s’entourer des meilleurs notamment du meilleur photographe, Emmanuel Lubezki récompensé deux années de suite pour Gravity puis Birdman. Une fois encore, le monsieur pourrait repartir avec la statuette et une fois encore, il me semble que ce ne serait pas volé. Car, en regardant The Revenant, on est frappé par l’image, son esthétisme et son côté mystique (presque métaphysique d’ailleurs) participant grandement à la réussite du film j’imagine.
En attendant, Alejandro Gonzales Inarritu est déjà nominé pour le golden globes du meilleur réalisateur. Ceci dit, la concurrence risque d’être rude aux côtés de Spotlight acclamé par la critique.
*STEVE JOBS de Danny Boyle (3 février 2016).
Synopsis Allociné: Dans les coulisses, quelques instants avant le lancement de trois produits emblématiques ayant ponctué la carrière de Steve Jobs, du Macintosh en 1984 à l’iMac en 1998, le film nous entraîne dans les rouages de la révolution numérique pour dresser un portrait intime de l’homme de génie qui y a tenu une place centrale.
Il faut dire que le personnage, l’homme a le vent en poupe avant et depuis sa disparition. Les biopics s’enchainent mais l’intérêt et la passion que suscite Steve Jobs ne faiblit pas. On a beaucoup parlé du businessman un peu moins du père sans doute à part si vous avez lu le fantastique livre de Walter Isaacson.
Il semble que ce biopic s’attarde davantage sur l’homme que le créateur d’Apple; le tout servi par un casting 5 étoiles. Hâte donc de voir le résultat!
*SPOTLIGHT de Tom McCarthy( 27 janvier 2016).
Synopsis Allociné: Adapté de faits réels, Spotlight retrace la fascinante enquête du Boston Globe – couronnée par le prix Pulitzer – qui a mis à jour un scandale sans précédent au sein de l’Eglise Catholique. Une équipe de journalistes d’investigation, baptisée Spotlight, a enquêté pendant 12 mois sur des suspicions d’abus sexuels au sein d’une des institutions les plus anciennes et les plus respectées au monde. L’enquête révèlera que L’Église Catholique a protégé pendant des décennies les personnalités religieuses, juridiques et politiques les plus en vue de Boston, et déclenchera par la suite une vague de révélations dans le monde entier.
Je l’avais déjà remarqué depuis un bout de temps; et, vous l’avez signalé dans un de mes Flash Flash ciné. Le sujet m’intéresse évidemment beaucoup; et, je me dis que ça me fera un Prix Pulitzer de plus à lire. Dans Sept à Huit, j’avais vu un reportage sur un sujet similaire et comment l’Église avait tout fait pour étouffer l’affaire.
Je suis donc très curieuse de voir cette équipe travailler sans relâche et malgré les menaces, à la recherche de la vérité. La cerise sur le gâteau c’est bien entendu le casting exceptionnel.
*CAPTAIN AMERICA:CIVIL WAR de Anthony et Joe Russo.
Synopsis Allociné:Steve Rogers est désormais à la tête des Avengers, dont la mission est de protéger l’humanité. A la suite d’une de leurs interventions qui a causé d’importants dégâts collatéraux, le gouvernement décide de mettre en place un organisme de commandement et de supervision. Cette nouvelle donne provoque une scission au sein de l’équipe : Steve Rogers reste attaché à sa liberté de s’engager sans ingérence gouvernementale, tandis que d’autres se rangent derrière Tony Stark, qui contre toute attente, décide de se soumettre au gouvernement…
Je n’ai toujours pas vu le premier opus mais j’avais beaucoup aimé le soldat d’hiver. D’ailleurs, les autres films de héros devraient s’y inspirer. La BA est puissante, rythmée; et en cohérence avec ce qu’il nous a été dit précédemment.
On retrouve ici Steve Rogers confronté à un choix difficile et ayant de lourdes conséquences. Ce n’était pas Papi Peter Parker qui disait qu’un grand pouvoir impliquait de grandes responsabilités ?! Chacun devra choisir son camps; et bien entendu vu que je n’aime pas Iron Man, ça fait toujours plaisir de le voir prendre une raclée entre les mains de Buddy et de Captain America.
*LEGEND de Brian Helgeland.
Synopsis Allociné:Londres, les années 60. Les jumeaux Reggie et Ronnie Kray, célèbres gangsters du Royaume-Uni, règnent en maîtres sur la capitale anglaise. À la tête d’une mafia impitoyable, leur influence paraît sans limites. Pourtant, lorsque la femme de Reggie incite son mari à s’éloigner du business, la chute des frères Kray semble inévitable…
Pas sûr que l’histoire brille pas son originalité mais plus par la double performance du brillant Tom Hardy.
Il n’empêche que l’histoire ( si livre il y a ) m’intéresse beaucoup en plus d’une double dose de Tom Hardy. Tom Hardy X 2= deux fois plus de Tom Hardy à l’écran.
*BOURNE 5 de Paul Greengrass.
Je ne m’en remets toujours pas du dernier opus de Jason Bourne tant il était mauvais. La scène avec le loup et son absurdité est toujours bien ancrée dans mon esprits. Alors forcément quand j’ai appris que le meilleur Jason Bourne alias Matt Damon et Paul Greengrass revenaient tous les deux pour nous offrir (espérons-le) une conclusion honorable à cette saga: j’étais aux anges.
Rappelez-vous de cet homme repêché dans un filet à moitié mort et couvert de balles qui ne souvenait de rien. Et, de Franka Potente dont le personnage prend la balle à la place de Jason Bourne. Terrible cette scène!