Voyage avec Martin Scorcese à travers le cinéma américain

Par Cinevu @cinevu

Où le Cinéphile a fait le Réalisateur

Réalisation Martin Scorsese 2006

Volume 2, donc de ces voyages à travers le cinéma avec Martin Scorcese comme guide.

Après la Génèse (cinéma italien) voici l’éducation, la croissance du jeune homme, de l’homme, du cinéphile, du réalisateur: Martin Scorcese.

Et à travers ces voyages -puisque le Cinéma est multiple- M.Scorcese endosse le rôle du passeur; ce en toute humilité.

Dans ce versant américain du cinéma, Scorcese passe en revue plus de 70 ans de l’industrie cinématographique, marquant certains épisodes plus que d’autres. Le muet avec Griffith « on a dit que le cinéma était né avec « Naissance d’une Nation et Intolérance », Ford le patron: l’évolution à travers lui du western (1939: La chevauchée fantastique 1949: La charge héroïque 1956: La prisonnière du désert).

Puis Scorcese aborde le cinéma américain à travers ses genres: Western, Film Noir, Comédies musicales…
Pendant ces discussions (Marty Nous parle bel et bien) Scorcese insiste davantage sur les aspects techniques aussi d’un film, sur ce que la technologie apporte au récit, par sa forme.

Il détaille ensuite ce que peuvent être les réalisateurs: conteurs, illusionnistes, contrebandiers ou iconoclastes. Ceci émaillé de grands noms en matière d’exemples: Griffith, Ford, Vidor, Minelli (le documentaire débute par une scène emblématique de « Les Ensorcelés »: miroir véridique et déformant de ce que fut Hollywood) Kubrick, Welles…

Mais Scorcese, en bon amoureux du cinéma, n’oublie pas les seconds couteaux tels Samuel Fuller, Allan Dwan, Rowland Brown et d’autres encore. Pour à la fin, citer tous ceux qu’il n’a pas pu citer!..

Synopsis Voyage avec Martin Scorcese à travers le cinéma américain : Scorcese nous dit, nous montre l’importance du cinéma dans nos vies, aux fins de nous divertir, et aussi, nous faire réfléchir.
Un bien, bien précieux, que ces voyages avec Martin Scorcese à travers les Cinémas