Atteinte d’agoraphobie sévère, Anna vit depuis 10 ans recluse dans une ancienne maison victorienne à la périphérie d'une ville de Louisiane. Lorsque des criminelles s'introduisent chez elle par effraction, elle est terrifiée mais incapable de s'enfuir et de leur échapper. Ce que les cambrioleurs ne savent pas encore est que l'agoraphobie n'est pas la seule psychose dont souffre la jeune femme...
Intruders ou comment le synopsis d’un film va vous laisser facilement deviner comment va tourner la situation. Pour un thriller, épouvante-horreur, Intruders portent assez mal les étiquettes de genre que l’on veut lui donner. On aurait pu avoir un bon côté thriller, mais c’est vite abandonné pour essayer d’ouvrir la porte vers l’épouvante-horreur, mais cela n’ira pas très loin non plus. Ne voulant faire ni l’un ni l’autre, Intruders est un film qui est ni fait ni à faire. Au final, on se retrouve devant un film qui met du tend à se lancer et une fois lancé, il cale direct. On se retrouve devant un film plat qui aurait pu être dans la lignée d’un film comme la dernière maison sur la gauche mais finalement il n’y a rien pour aider à tourner vers cela.