Mardi 17 mai, cinéma de montagne à l’Institut Lumière avec Valley Uprising

Par Journal Cinéphile Lyonnais @journalcinephil

Régulièrement, l’Institut Lumière inscrit dans sa programmation une Soirée Cinéma de Montagne.  Le prochain rendez-vous aura lieu le Mardi 17 mai à 19h00, avec un voyage pour le mythique parc américain Yosémite avec Valley Uprising .

Film d’escalade exceptionnel qui retrace 50 ans d’histoire de ce sport au sein de ce magnifique parc naturel. Dans des paysages à couper le souffle, on retrouve quelques-uns des meilleurs grimpeurs de leur temps.

Un film événement, lauréat de grands prix dans plusieurs festivals !

Toutes les informations pratiques sur www.institut-lumiere.org

Valley Uprising de Peter Mortimer and Nick Rosen
USA, 2014, 1h26, coul

L’histoire folle et exaltante de l’escalade dans le parc américain de Yosemite, des années 60 à nos jours… Le film-événement, qui a raflé les grands prix dans les festivals de films de montagne ! Rivalités, amitiés et admirations ; sport, styles, et innovations : dans les paysages à couper le souffle du parc, on retrouve quelques-uns des meilleurs grimpeurs de leur temps, Lynn Hill, Dean Potter, Alex Honnold, Jim Bridwell, Royal Robbins…

« Un documentaire étonnant qui retrace l’histoire de l’escalade depuis les années cinquante dans le parc de Yosemite en Californie. Il commence avec cette question, en forme de boutade interrogative : « Pourquoi les jeunes grimpent des falaises? » Réponse: « Parce qu’ils sont cinglés! » On y découvre la bataille sans merci que se livrent les deux grimpeurs Royal Robbins et Warren Harding pour conquérir les sommets Half Dome ou El Capitan, on y suit avec étonnement Jim Bridwell, souvent « défoncé » sur la paroi, John Bachar et Ron Kauk, étonnants grimpeurs mais également icônes psychédéliques du Flower Power. Car le mérite du film est d’inscrire l’épopée du Yosemite dans l’histoire des Etats-Unis. Autour du mythique camp 4, se découvre la contre-culture incarnée par les alpinistes de l’époque. Le Yosémite, « épicentre séminal » de toute la culture grimpante américaine, reste la véritable vedette de ce film. » Extrait de Libération (8 avril 2016)