Chérie, j’ai rétréci les critiques #2

Bonjour/bonsoir à tous et à toutes.

Pour ce deuxième numéro de « Chérie, j’ai rétréci les critiques », il sera question de films d’animations. Quatre films au programme : Oups, j’ai raté l’arche, Snoopy et les peanuts, En route et Angry birds ! Voilà de quoi animer vos soirées ( élue meilleure blague de l’année 1990). Bonne lecture ! Temps de lecture estimé : Bah vous m’direz combien de temps vous avez mis ! ^^

Film d’animation réalisé par Toby Genkel et Sean McCormack. Le premier, allemand qui a réalisé un premier film d’animation sorti directement en DVD en 2014 chez nous: « Thor et les légendes du valhalla » (comme j’te pousse). Le second est un illustre inconnu (non pas Didier, ni Pascal, ni Bernard… juste un inconnu.) Oups, j’ai raté l’arche est un film d’animation tout ce qu’il y’a de plus classique et dans la proche lignée des scénarios à la Pixar: Un personnage (deux en l’occurrence pour celui ci) qui se retrouve éloigné de son foyer/parent et qui devra retrouver son chemin jusqu’à chez lui/eux. Rien de bien nouveau. Du côté de l’humour, il n’y a rien d’original non plus, certains gags sont déjà vus et revus mais le long métrage reste cependant très joli à regarder. Comme pour un Monstre et Cie en son temps, le travail au niveau des poils/fourrures des personnages est assez remarquable et sont très réalistes. Pour le reste, ça reste encore une fois du classique. Le seul point noir est au niveau de l’eau pas forcément très bien réaliste dans sa texture et son animation quand les personnages sont à sa surface. Pas très réaliste non plus quand ces derniers peuvent parler dans l’eau comme si ils étaient à l’air libre. C’est un peu chipoter c’est vrai mais je tenais à le dire. Bref, ce film diverti bien néanmoins et c’est ce qu’on demande pour un film animé.

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Charlie Brown n’est pas le fils de James Brown, ni la puissance du port du havre mais un personnage d’une bande dessiné créé par Charles M. Schulz en 1950 appelé: Snoopy. Le film lui est réalisé par Steve Martino à qui l’ont doit Horton et L’age de glace 4 alors que le scénario est écrit par  Craig Schulz et Bryan Schulz, respectivement petit fils et fils de Charles Schulz ainsi que Cornelius Uliano. A noté Paul Feig à la production. Bref, passons au film qui est  une belle réussite au niveau visuel, joli mix entre animation 3D et dessin traditionnel, ce qui donne cet effet BD particulier, mais aussi avec ses bonnes idées de gags. Et puis, on ne s’ennuie pas une seconde en suivant les mésaventures de Charlie Brown, entrecoupées par ces scènes fantasmées par Snoopy, le mettant en scène à « bord » de sa niche qui lui sert là d’avion de combat et affrontant le terrible baron rouge !  En tout cas, ce film donne envie de découvrir la bande dessiné originale ayant l’air plutôt bonne et originale elle aussi. En résumé, Snoopy et les peanuts est une vraie bonne surprise et arrive à se frayer une belle place aux cotés de Vice Versa.

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Comme pour « Oups, j’ai raté l’arche » , le scénario est un scénario à la Pixar, de ce côté là on ne change pas une équipe qui gagne et on passe quand même un agréable moment avec quelques gags qui fonctionnent bien mais, le soin apporté à la beauté visuel des décors quasi photo-réaliste est le principal point fort de ce long métrage. La texture des cheveux et les expressions faciales des personnages humains ont aussi étés bien soigneusement réalisés. Bref, pas grand chose de plus à dire sur ce film mais il sera parfait pour un dimanche après midi en famille. Ou seul pour les moins « chanceux » !

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Une bonne surprise que cette adaptation du célèbre jeu smartphone qu’est Angry Birds. Mais c’était loin d’être gagné en apprenant la nouvelle de cette adaptation qui avouons le, a sans doute été pensée uniquement en terme marketing. Le jeu étant un succès planétaire, il était peu probable qu’il ne voit pas son univers transposé pour le grand écran. Mais il faut avouer que le film est plutôt réussi. Drôle, beau, avec son lot de personnages attachants et son scénario qui arrive à tenir en haleine tout du long, sans aucun temps mort. Et pour toucher le plus grand nombre de gens, petits comme grands, le long métrage se prête au jeu des références cinématographiques disséminées ici où là. Ce n’est pas forcément une mauvaise chose en soi mais on sent bien que certaines références sont un peu forcées, placés là pour dire « regardez, on a fait une référence ». Cependant, ça ne dérange pas vraiment pendant le visionnage et on se prend au jeu de reconnaître ces références. Et il ne faut pas forcément avoir joué au jeu pour passer un bon moment devant ce Angry Birds très plaisant à regarder.

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Ce sera tout pour aujourd’hui. N’hésitez pas à commenter, partager en mâsse, donner votre avis sur les films critiqués ou vous pouvez également critiquer les critiques ! On se retrouve prochainement pour le numéro 3 de « Chérie, j’ai rétréci les critiques » et si on ne se revoit pas d’ici là, je vous souhaite une bonne soirée et une excellente nuit.