L’œil de Pulp #47

Alors… De quel film est issu ce screen ?

La réponse ci-dessous…

oeil47

Elle s’appelait Sarah (2010) / réalisé par Gilles Paquet-Brenner / Avec Kristin Scott Thomas, Mélusine Mayance

Avant Moka et Boomerang, Elle s’appelait Sarah fut le premier roman de Tatiana de Rosnay à avoir été adapté à l’écran, après avoir été vendu à plus de deux millions d’exemplaires à travers le monde en 2009. À la réalisation, Gilles Paquet-Brenner : l’homme qui était également derrière… les deux volets de Gomez et Tavarès ! Changement de ton certain avec cette fresque historique sur fond de secret de famille, que Paquet-Brenner a co-scénarisé avec son ami Serge Joncour (dont il avait adapté le roman U.V en 2007). Il n’y avait certainement personne d’autre que Kristin Scott Thomas pour incarner Julia Jarmond, personnage principal du roman. Journaliste franco-américaine, elle se lance dans une enquête sur la rafle du Vel d’Hiv. Mais remuer le passé n’est pas sans conséquence. Ce screen est extrait de la scène où Julia se rend au Mémorial de la Shoah, situé dans le Marais. Pour tourner à cet endroit, l’actrice n’avait qu’une seule condition : qu’on la filme directement, alors qu’elle parcourait ce lieu de mémoire pour la toute première fois… Pour son film suivant, Paquet-Brenner s’est attelé à un autre roman… et une autre histoire de famille : Dark Places, de Gillian Flynn (l’auteure de Gone Girl), avec une actrice tout aussi iconique que Kristin Scott-Thomas, Charlize Theron ! Notre critique à lire ici.

Synopsis :

Julia Jarmond, journaliste américaine installée en France depuis 20 ans, enquête sur l’épisode douloureux du Vel d’Hiv. En remontant les faits, son chemin croise celui de Sarah, une petite fille qui avait 10 ans en juillet 1942. Ce qui n’était que le sujet d’un article devient alors, pour Julia, un enjeu personnel, dévoilant un mystère familial. Comment deux destins, à 60 ans de distance, vont-ils se mêler pour révéler un secret qui bouleversera à jamais la vie de Julia et de ses proches ? La vérité issue du passé a parfois un prix dans le présent…

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