Mais qu'y a-t-il de si passionnant chez Rosalie?
Vincent Machot, coiffeur collé à sa maman cantonné à une vie bien triste, donne du piment à sa vie en prenant en filature Rosalie Blum. Pourquoi ? On ne sait pas et apparemment lui non plus. C’est la première levée d’un scénario sous forme de poupées gigogne. Ensuite, le cœur du récit change de tête pour se concentrer sur la nièce de Rosalie Blum ; une jeune fille pleine de charme mais tout aussi paumée que Vincent. Et le troisième acte sera centré sur Rosalie elle-même. Et autour d’eux gravitent des personnages tout autant ordinaires et attachants que le trio majeur sur lesquels Julien Rappeneau porte un regard tendre. Déconstruction du récit, magnificence de gens simples, quotidien ré enchanté façon conte, enquête mode « Club des cinq » ; moins neuf, moins extraordinaire, moins étonnant ; mais tous les ingrédients pour rappeler le charme d’Amélie Poulain sont présents. Les amuses bouches gentiment distillés tout au long du film ont tout simplement moins de saveur, l’intrigue est trop plate. Cependant on succombe au charme de ce film et de sa jeune comédienne prometteuse : Alice Isaaz. Entrainé avec plaisir dans ce feel good movie autour d’une Rosalie faisant du bien aux gens qui l’entoure, on attend l’explication finale quant à la genèse de ces rencontres foutraques. Pourquoi donc Vincent suivait il Rosalie ? Et l’explication est hallucinante et absurde ; tout se tenait pourtant assez bien jusqu’alors.Et bien tant pis, çà reste un premier film plein de bonnes intentions à voir sans déplaisir.
Sorti en 2016
Ma note: 11/20
Vincent Machot, coiffeur collé à sa maman cantonné à une vie bien triste, donne du piment à sa vie en prenant en filature Rosalie Blum. Pourquoi ? On ne sait pas et apparemment lui non plus. C’est la première levée d’un scénario sous forme de poupées gigogne. Ensuite, le cœur du récit change de tête pour se concentrer sur la nièce de Rosalie Blum ; une jeune fille pleine de charme mais tout aussi paumée que Vincent. Et le troisième acte sera centré sur Rosalie elle-même. Et autour d’eux gravitent des personnages tout autant ordinaires et attachants que le trio majeur sur lesquels Julien Rappeneau porte un regard tendre. Déconstruction du récit, magnificence de gens simples, quotidien ré enchanté façon conte, enquête mode « Club des cinq » ; moins neuf, moins extraordinaire, moins étonnant ; mais tous les ingrédients pour rappeler le charme d’Amélie Poulain sont présents. Les amuses bouches gentiment distillés tout au long du film ont tout simplement moins de saveur, l’intrigue est trop plate. Cependant on succombe au charme de ce film et de sa jeune comédienne prometteuse : Alice Isaaz. Entrainé avec plaisir dans ce feel good movie autour d’une Rosalie faisant du bien aux gens qui l’entoure, on attend l’explication finale quant à la genèse de ces rencontres foutraques. Pourquoi donc Vincent suivait il Rosalie ? Et l’explication est hallucinante et absurde ; tout se tenait pourtant assez bien jusqu’alors.Et bien tant pis, çà reste un premier film plein de bonnes intentions à voir sans déplaisir.
Sorti en 2016
Ma note: 11/20