Miss Peregrine et les enfants particuliers
De Tim Burton
Avec Asa Butterfield, Eva Green, Ella Purnell
Date de sortie 5 octobre 2016, vu le 6 octobre 2016 en 3D
Synopsis : À la mort de son grand-père, Jacob découvre les indices et l'existence d'un monde mystérieux qui le mène dans un lieu magique : la Maison de Miss Peregrine pour Enfants Particuliers. Mais le mystère et le danger s'amplifient quand il apprend à connaître les résidents, leurs étranges pouvoirs ... et leurs puissants ennemis. Finalement, Jacob découvre que seule sa propre "particularité" peut sauver ses nouveaux amis.
Avis : Une nouvelle aventure aux quelques touches, bien trop peu à mon goût, de Tim Burton pour cette adaptation du roman de Ransom Riggs.
L'ambiance est dès le début sur un générique aux accents très années 40, même après les présentations des personnages vivent en 2016, l'atmosphère reste populaire comme arrêté dans le temps. Cela tombe bien puisque qu'il s'agit d'une aventure où le temps compte.
Les effets spéciaux et maquillages sont très colorés même le noir, logique vous allez me dire, puisque Burton est le roi pour sublimer l'obscurité. La 3D comme a son habitude n'apporte rien de plus.
Côté casting, retrouvons une magnifique Eva Green (Miss Peregrine). J'aime particulièrement son attitude face aux enfants, elle est attachante et sincère. Asa Butterfield (Jake) est lumineux, adorable et craquant malgré lui. Le suivre et compatir sont sans nul doute les premiers sentiments à son égard. Ella Purnell (Emma) est tout à fait un personnage créer pour Tim Burton avec sa sensibilité et sa fraîcheur naturelle. Les enfants forment vraiment un groupe soudés et solide tout en étant particuliers indépendamment. Samuel L. Jackson (Barron) est le seul bémol. Il est un peu trop ridicule à rire tout le temps alors qu'il est sensé être le vilain méchant. Terence Stamp (Abe) est incroyable et farfelue comme peut paraît son récit.
Vous le conseille je ne sais pas, car je suis assez mitigée. Même si c'est sympathique comme histoire, cela reste moyen comme film signé Burton.