Dans une période de guerre civile, les populations doivent faire face à la nouvelle arme de l'Empire galactique, l'Étoile Noire. Cette nouvelle arme fait également office de base militaire, elle est capable d'anéantir des planètes entières. Agissant pour le compte de l'Alliance rebelle, un groupe de résistants s'unit pour en voler les plans.
La promo de Rogue One commençait parfaitement bien. Sans trop en montrer, les trailers posaient une ambiance sympathique, pleine de charme, et semblait proposer quelque chose de bien plus original que Star Wars VII : le Réveil de la Force. Mais après les fameux reshoots de cet été, tout est devenu... moins attrayant.
La dernière bande-annonce, que beaucoup de monde a adoré peut-être pour son côté spectaculaire et les quelques éléments de réponse (notamment sur le personnage de Mads Mikkelsen), nous a par contre complètement refroidi. La sauce n'a pas pris, quand bien même Dark Vador sortait " hou lala " de la fumée en marchant vite.
La hype était sacrément redescendu, jusqu'à ce que ce trailer international ne tombe. Montées différemment, des plans en moins et d'autres originaux (un de plus sur Dark Vador tiens), spectaculaire juste ce qu'il faut, ces nouvelles images ressuscite la foi qu'on avait pour ce projet. La montée en puissance de l'Empire est plus claire, la pression sur les épaules de la rébellion plus forte, et l'absence de Forest Whitaker (qu'on trouve étrangement ridicule) fait du bien.
De plus, les fans s'affolent en voyant le collier de l'héroïne Jyn Erso, jouée par Felicity Jones. Serait-ce un cristal de Kyber, l'un des cristaux indispensables pour fabriquer un sabre laser ? La réponse sera donnée le 14 décembre 2016, date à laquelle Rogue One : a Star Wars story doit sortir sur les écrans du monde entier.
Gareth Edwards (Godzilla) réalise le film. Le casting se compose de Felicity Jones ( Inferno), Diego Luna ( Elysium), Ben Mendelsohn ( Bloodline), Donnie Yen (Ip Man 3), Jiang Wen ( The lost Bladesmen), Forest Whitaker ( Premier contact), Mads Mikkelsen (Doctor Strange) ou encore Riz Ahmed (The night of).