Comme n’importe quelle discipline sportive, l’écriture demande une stricte régularité pour être efficace. En clair, il est souvent difficile de s’y remettre au retour des vacances. 😉
Que diriez-vous d’une petite séance de coaching pour débuter la semaine?
Source image: Pen point editorial.com
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Eloigner toutes sources de distraction. Ca peut sembler évident, dit comme ça, mais à notre époque ultra connectée il est de plus en plus difficile de se couper du reste du monde le temps d’écrire.
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Créer les conditions propices à l’inspiration/concentration. Elles varient totalement d’un(e) auteur(e) à l’autre. Certains préfèrent travailler chez eux, d’autres, plus rares, ont besoin de se sentir entourés et privilégient les cafés, par exemple. Moi j’ai besoin de travailler dans mon antre mais avec un bruit de fond, de la musique, le plus souvent.
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Repérer et privilégier son créneau le plus productif. Certain(e)s auteur(e)s écrivent mieux le matin, d’autres l’après-midi, voire le soir. Organisez vos emplois du temps professionnel et personnel de façon à préserver vos heures les plus utiles.
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Préparer sa journée d’écriture la veille. Mettez-vous en condition psychique pour écrire. Savoir que tel jour on se consacre à tel projet permet à notre inconscient de brainstormer au fil des heures qui précèdent. C’est pour cette raison que le sommeil, ou la douche, permettent de trouver bien des idées de génie. 😉
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Terminer sa journée d’écriture AVANT de sécher. De nombreux auteurs utilisent cette méthode. Il est beaucoup plus facile d’attaquer une journée de travail quand on a déjà des idées au chaud.
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En cas de séchage sur un scène, passer à une autre, plus inspirante. Cela évite de rester bloqué(e), ce qui peut s’avérer totalement paralysant.
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Ecrire d’une traite, sans trop se soucier de l’orthographe ou de la longueur du texte dans un premier temps. Il sera temps de rectifier lors de la réécriture, qui n’est pas optionnelle, hein! 😉
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Ne pas hésiter à jongler entre deux sujets, en cas de blocage. Il n’y a rien de pire pour un(e) auteur(e) que le sentiment de ne pas être assez productif/ve. Mais un texte demande du temps, de la maturation. On peut ainsi travailler sur un autre, pour laisser le premier « infuser ».
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Définir et planifier sa propre routine d’écriture. Comme pour toute activité professionnelle, une bonne organisation est la clé de la productivité.
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Mais ne pas ritualiser à outrance ses journées de travail. Parfois la routine a besoin d’être cassée pour s’oxygéner l’esprit, et renouer avec le plaisir d’écrire. 🙂
Allez, au boulot maintenant, et plus vite que ça! 😉
Quelques outils pour apprendre à écrire plus vite :
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