Critique de Rogue One A Star Wars Story

Rogue One A Star Wars Story

Critique de Rogue One A Star Wars Story

De Gareth Edwards (II)

Avec Felicity Jones, Riz Ahmed, Ben Mendelsohn

Date de sortie 14 décembre 2016, vu le 17 décembre 2016 en 3D

Synopsis : Situé entre les épisodes III et IV de la saga Star Wars, le film nous entraîne aux côtés d'individus ordinaires qui, pour rester fidèles à leurs valeurs, vont tenter l'impossible au péril de leur vie. Ils n'avaient pas prévu de devenir des héros, mais dans une époque de plus en plus sombre, ils vont devoir dérober les plans de l'Étoile de la Mort, l'arme de destruction ultime de l'Empire.

Avis : Un épisode qui s'incruste joliment entre les deux premières trilogie (épisode 3 et 4) tout en gardant l'ambiance galactique si charismatique et plaisante du première succès de cette saga.

L'histoire est vraiment intéressante par le fait de découvrir de nouveaux personnages ayant déjà participé à l'histoire sans les connaître. Une atmosphère combative et cruelle, des explications non négligeables sur le passé de l'aventure spatiale et une liaison reliant le scénario avec brio.

Les effets spéciaux sont une vraie tuerie tellement ils sont homogènes et relient en toute simplicité les films suivant. Les décors innovent surtout en scène finale, cette plage à la fois paradisiaque et dangereuse.

L'action n'est pas en reste, malgré que pour ma part les trente premières minutes ont été vraiment longues pour mettre en place les personnages et l'ambiance assez particulière car la force est là sans la présence de Jedi.

Côté casting, c'est toujours avec plaisir d'enrichir cet univers avec des personnages tous unique et en même temps familier. Étrangement Jyn Erso (Felicity Jones) n'est pas celle qui m'a le plus touché mais ses compagnons oui, en particulier le droïde K-2SO (Alan Tudyk) et Chirrut Imwe (Donnie Yen) sûrement pour leurs côtés rappelant brillamment le succès de cette saga, la part attachante et magique de la force sont en eux. Galen Erso (Mads Mikkelsen) est sans aucun doute charismatique, on ne peut l'oublier. Capitaine Cassian Andor (Diego Luna) laisse une place de charme rebel bien dosé. Saw Gerrera (Forest Whitaker) est le mentor qui ne manque pas de caractère. Directeur Orson Krennic (Ben Mendelsohn) m'a particulièrement plu, il ne vous laissera pas indifférent et marquera sans doute vos esprits.

Agréablement surprise, car oui j'avais beaucoup de réticence sur ce spin-off, qui a su me convaincre aussi bien par ses défauts que ses qualités.