Le 1er février au Comoedia « Gimme Danger » précédé d’un concert de « The Purple Lords »

Le 1er février au Comoedia « Gimme Danger » précédé d’un concert de « The Purple Lords »

Après le récent Paterson, Jim Jarmusch revient, sur les écrans, cette semaine avec Gimme Danger, un documentaire sur les Stooges.

Et pour inaugurer le film,  le Cinéma Comoedia propose, mercredi 1 février à 20h00, un ciné concert avec The Purple Lords qui reprendra 5 chansons du groupe mythique avant la projection !

En partenariat avec Le Transbordeur

The Purple Lords sur Sound Cloud

Toutes les informations pratiques surwww.cinema-comoedia.com

Le 1er février au Comoedia « Gimme Danger » précédé d’un concert de « The Purple Lords »

Le 1er février au Comoedia « Gimme Danger » précédé d’un concert de « The Purple Lords »

Réalisé par : Jim Jarmusch
Avec : Iggy Pop, Ron Asheton, Scott Asheton, James A. Williamson, Steve Mackay
USA, 2017, 1h148
Date de sortie : 01 février 2017

Synopsis

Apparu pour la première fois à Ann Arbor (Michigan) en pleine révolution contre-culturelle, le style de rock’n’roll puissant et agressif des Stooges a fait l’effet d’une bombe dans le paysage musical de la fin des années 60.

Le 1er février au Comoedia « Gimme Danger » précédé d’un concert de « The Purple Lords »

« Iggy Pop (69 ans !) en est l’invité principal, qui évoque la carrière chaotique et flamboyante du groupe séminal avec une intelligence aigüe et une diction inimitable. Son discours est appuyé par de nombreux autres témoignages, dont ceux des membres originaux du groupe, que Jarmusch a eu le temps d’enregistrer avant que la mort les emporte : le guitariste Ron Asheton (2009), son frère Scott (2014), et le saxophoniste Steve Mackay (2015).

Pour les fans qui connaissent toute la littérature attachée à Iggy et aux Stooges, ce film est un complément idéal, qui enrichit les informations en les illustrant d’images de toutes sortes : archives qui témoignent autant de l’énergie dégagée pendant les concerts que du contexte de l’époque (les émeutes de Detroit), extraits d’émissions de télé qui ont influencé le jeune Osterberg, clips de films en forme de contrepoints ironiques… Chaque seconde est un plaisir pour les sens et l’esprit. » La totalité de l’article sur première.fr