Miss Hokusai : caractère bien trempé et talent inné ! Son destin sera différent.
O-Ei est la fille du célèbre peintre Tetsuzo, artiste très connu dans l'ère Edo. Tous 2 vivent dans un petite maison qui leur sert d'atelier pour que le maître puisse peindre ses œuvres. O-Ei le seconde souvent pour que ses commandes soient prêtes à temps.
Elle a également une petite soeur née d'un second mariage de son père. La petite fille est aveugle de naissance. Tetsuzo ayant une peur profonde de la mort et de la maladie, il ne s'occupe pas du tout d'elle.
O-Ei en revanche est très attachée à elle et en prend soin.
Sa vie se déroule entre les commandes, la peinture, sa soeur et l'apprentissage de la vie.
Son béguin pour un de ses amis lui ouvrira les portes de la vie adulte.
Cette oeuvre de Keiichi Hara (Doraemon, Malicieuse Kiki...) nous raconte la vie pas tout à fait traditionnelle de la fille du grand peintre.
O-Ei est quelqu'un de bien, de juste mais d'assez naïf malgré son caractère bien trempé.
Se confronter aux épreuves de la vie et à son évolution va lui permettre de changer et de s'ouvrir à d'autres changements.
Son père est un exemple pour son travail et elle l'aide avec aise. Elle a hérité son talent de lui. Mais c'est aussi quelqu'un de très secret, introverti par moment et qui se livre très peu.
Elle a donc tendance à le secouer parce que par moment il l'écoute !
Sa petite sœur est son havre de paix. Sa pureté et sa candeur en font un être d’exception. Mais elle a peur d'être maudite et d'aller en enfer quand elle mourra. Son handicap en fait une personne douce aimante et chaleureuse. Et elle adore sa grande sœur. Elle aime beaucoup son père mais elle craint que ce ne soit pas réciproque avec sa cécité. Il lui donnera la preuve du contraire de façon très poétique.
Le film en lui même n'apporte pas grand chose en soi, mais il permet d'avoir une vue de ce que pouvait être la vie des peintres à l'époque Edo dans l'ancienne Tokyo (Edo à l'époque).
Il donne aussi quelques axes sur certaines croyances et superstitions dont la façon de peindre un dragon en le capturant dans la toile pour qu'il soit le plus fidèle possible.
L'animation est très jolie, mais ne vaut pas d'autres grands classiques tels que les films des studio Ghibli ou le dernier Your Name.
Il fait presque dessin sur papier animé de part ses couleurs plutôt claires et son graphisme par moment assez grossier.
La musique, traditionnelle mais aussi rock par moment a été très déroutante et parfois pas adaptée !
Au total, on a un film d'animation joli, culturel mais pas indispensable.
La tradition et l'évolution s'affronte pour un changement des plus atypique.
A vos tickets
Bande annonce :
O-Ei est la fille du célèbre peintre Tetsuzo, artiste très connu dans l'ère Edo. Tous 2 vivent dans un petite maison qui leur sert d'atelier pour que le maître puisse peindre ses œuvres. O-Ei le seconde souvent pour que ses commandes soient prêtes à temps.
Elle a également une petite soeur née d'un second mariage de son père. La petite fille est aveugle de naissance. Tetsuzo ayant une peur profonde de la mort et de la maladie, il ne s'occupe pas du tout d'elle.
O-Ei en revanche est très attachée à elle et en prend soin.
Sa vie se déroule entre les commandes, la peinture, sa soeur et l'apprentissage de la vie.
Son béguin pour un de ses amis lui ouvrira les portes de la vie adulte.
Cette oeuvre de Keiichi Hara (Doraemon, Malicieuse Kiki...) nous raconte la vie pas tout à fait traditionnelle de la fille du grand peintre.
O-Ei est quelqu'un de bien, de juste mais d'assez naïf malgré son caractère bien trempé.
Se confronter aux épreuves de la vie et à son évolution va lui permettre de changer et de s'ouvrir à d'autres changements.
Son père est un exemple pour son travail et elle l'aide avec aise. Elle a hérité son talent de lui. Mais c'est aussi quelqu'un de très secret, introverti par moment et qui se livre très peu.
Elle a donc tendance à le secouer parce que par moment il l'écoute !
Sa petite sœur est son havre de paix. Sa pureté et sa candeur en font un être d’exception. Mais elle a peur d'être maudite et d'aller en enfer quand elle mourra. Son handicap en fait une personne douce aimante et chaleureuse. Et elle adore sa grande sœur. Elle aime beaucoup son père mais elle craint que ce ne soit pas réciproque avec sa cécité. Il lui donnera la preuve du contraire de façon très poétique.
Le film en lui même n'apporte pas grand chose en soi, mais il permet d'avoir une vue de ce que pouvait être la vie des peintres à l'époque Edo dans l'ancienne Tokyo (Edo à l'époque).
Il donne aussi quelques axes sur certaines croyances et superstitions dont la façon de peindre un dragon en le capturant dans la toile pour qu'il soit le plus fidèle possible.
L'animation est très jolie, mais ne vaut pas d'autres grands classiques tels que les films des studio Ghibli ou le dernier Your Name.
Il fait presque dessin sur papier animé de part ses couleurs plutôt claires et son graphisme par moment assez grossier.
La musique, traditionnelle mais aussi rock par moment a été très déroutante et parfois pas adaptée !
Au total, on a un film d'animation joli, culturel mais pas indispensable.
La tradition et l'évolution s'affronte pour un changement des plus atypique.
A vos tickets
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