Quand Hannibal Lekter rencontre Natascha Kampusch
La terminologie médicale appelle cette maladie un trouble dissociatif de l’identité. Le personnage est surtout un dingo dangereux qu’il faudrait enfermer ; lui et ses 23 ou 24 personnalités. Cette maladie psychiatrique lui confère des pouvoirs surnaturels inouïs dont il va user pas forcément pour le meilleur. Et oui, nous sommes chez le chantre du surnaturel : Night Shyamalan. Le dingo, enfin 3 de ses personnalités, vont prendre le contrôle de sa psyché et kidnapper trois jeunes filles type pom pom girl en mini-jupe. Là çà commence à sentir la série B ; de jolies jeunes filles bien gaulées en mini-jupe enfermé dans une cave tentant d’échapper aux griffes de leur dangereux prédateur. Au-delà d’un scénario de seconde zone, ce film c’est un peu comme si Norman Bates (« Psychose ») avait croisé Hannibal Lecter (« Le silence des agneaux ») avant d’enfermer Natascha Kampusch (« Room »). Les références sont donc nombreuses mais pas transcendées. Shyamalan surfe sur tous les faits divers de ces dernières années où des malades mentaux ont enfermés pendant des années des jeunes filles durant des années… Le sujet est donc un peu daté et hyper traité depuis 20 ans. Mais rien n’est ressort mis à part une bête féroce symbole de pédophilie. Shyamalan use aussi d’un twist final, une marque de fabrique, avec l’héroïne quittant une bête pour en retrouver une autre. Mais tout ceci manque de surprise et d’effets. Reste tout de même un petit film d’épouvante assez malin se regardant sans déplaisir.Sorti en 2017Ma note: 8/20
La terminologie médicale appelle cette maladie un trouble dissociatif de l’identité. Le personnage est surtout un dingo dangereux qu’il faudrait enfermer ; lui et ses 23 ou 24 personnalités. Cette maladie psychiatrique lui confère des pouvoirs surnaturels inouïs dont il va user pas forcément pour le meilleur. Et oui, nous sommes chez le chantre du surnaturel : Night Shyamalan. Le dingo, enfin 3 de ses personnalités, vont prendre le contrôle de sa psyché et kidnapper trois jeunes filles type pom pom girl en mini-jupe. Là çà commence à sentir la série B ; de jolies jeunes filles bien gaulées en mini-jupe enfermé dans une cave tentant d’échapper aux griffes de leur dangereux prédateur. Au-delà d’un scénario de seconde zone, ce film c’est un peu comme si Norman Bates (« Psychose ») avait croisé Hannibal Lecter (« Le silence des agneaux ») avant d’enfermer Natascha Kampusch (« Room »). Les références sont donc nombreuses mais pas transcendées. Shyamalan surfe sur tous les faits divers de ces dernières années où des malades mentaux ont enfermés pendant des années des jeunes filles durant des années… Le sujet est donc un peu daté et hyper traité depuis 20 ans. Mais rien n’est ressort mis à part une bête féroce symbole de pédophilie. Shyamalan use aussi d’un twist final, une marque de fabrique, avec l’héroïne quittant une bête pour en retrouver une autre. Mais tout ceci manque de surprise et d’effets. Reste tout de même un petit film d’épouvante assez malin se regardant sans déplaisir.Sorti en 2017Ma note: 8/20