[Cannes 2017] – Jour 3 : Le cinéma social fait son arrivée.

[Cannes 2017] – Jour 3 : Le cinéma social fait son arrivée.

Après la polémique Netflix qui a poursuivie la projection d'Okja hier matin, le Festival se poursuit avec l'arrivée à la Croisette d'un cinéma purement social : Une satire féroce sur le monde de l'art et l'avènement de l'association Act-Up dans les années 90.

[Cannes 2017] – Jour 3 : Le cinéma social fait son arrivée.

The Square de Ruben Ostlund

Une exposition d'art contemporain met à mal ses visiteurs, essentiellement bourgeois et imbus d'eux-mêmes.

    Pourquoi pourrait-il remporter la Palme d'Or ?

Cannes adore lorsqu'un film critique la culture et ses spectateurs, surtout dans une durée excessive (2h22). Le ton mordant d' Ostlund, qui s'était déjà fait remarqué dans " Snow Therapy " en 2015, pourrait plaire aux membres du Jury, notamment à la réalisatrice Maren Ade, celle qui nous avait offert le réjouissant Toni Erdmann l'an dernier.

[Cannes 2017] – Jour 3 : Le cinéma social fait son arrivée.

120 Battements par Minutes de Robin Campillo

La naissance de l'association " Act-Up " dans les années 90, entre lutte contre le SIDA et nouvelles rencontres.

    Pourquoi pourrait-il remporter la Palme d'Or ?

Le Jury risque de ne pas être insensible face à cette chronique de deux heures et vingt minutes sur un sujet grave et marquant d'une certaine période.

Victor Van De Kadsye