Réalisation Ridley Scott 2017
Après nous avoir tant ébloui, le comédien est aspiré par les grosses productions sans âme, « Assassin Creeds » puis enfin Alien. Le scénario est fade mais la réalisation est soignée. Evidemment le premier « Alien » était un sommet du genre et l’effet de surprise était au rendez-vous. Mais, cette fois-ci, hélas, on connaît déjà la chanson et l’air qui va avec.
On s’essouffle, de rebondissements en rebondissements.
Michael Fassbender devient en cire et sans expression et c’est terriblement frustrant quand on aime le comédien, c’est le musée Grévin dans l’espace. Ridley Scott dirige avec brio son équipe de cosmonautes, tout le monde se tient à carreau dans la super navette. La bande débarque sur la mauvaise planète où Walter, l’androïde, rencontre son alter égo démoniaque, c’est la bonne trouvaille. Le reste c’est de la grosse machine et on peut manger son « popcorn » sans s’étrangler. Quelques scènes bien trash et sanglantes. David, le méchant robot, maître et créateur de monstres, sait jouer du pipeau et clamer de la poésie. C’est presque cocasse.
Une fin qui semble boucler la boucle de la série et tant mieux car il n’y a plus grand chose à exploiter. Bref valable un dimanche de pluie.
Synopsis Télérama Alien : Covenant
L’équipe du vaisseau de Covenant, emmené par le capitaine Branson et son second Christopher Oram, sont envoyés dans l’espace afin de trouver une planète à coloniser. Ils arrivent à bon port et découvrir un havre de paix où aucun humain n’a jamais mis les pieds. Ils ne savent pas que ce territoire inexploré est en fait celui des aliens. Le cauchemar va bientôt commencer quand l’un d’eux est contaminé. Alors qu’ils veulent quitter cet enfer, leur navette explose, les condamnant à rester sur place et à lutter de toutes leurs forces pour ne pas perdre la vie…