Ouverture en noir et blanc sur une immense vague, le film de Kristen Stewart plonge littéralement le spectateur dans une esthétique extrêmement lourde, oppressante, brutale notamment grâce à un design sonore lui aussi très agressif.
A travers l'histoire muette de cet homme en fuite constante, la métaphore apparaît évidente pour le spectateur qui connait un minimum la très médiatique actrice : c'est une métaphore de la désintox.
L'actrice y joue d'ailleurs un petit rôle symbolique : la voix off qui hante sans cesse le personnage...
Pour son premier court-métrage à Cannes, la désormais actrice/réalisatrice californienne marque le coup et les esprits avec un film " experi-mental " graphique, violent et authentique!
Cannes 2017court-métrageKristen Stewart