Carnous sommes témoins, sans plus d'éclairage. A la fin du film je n'en savais pas beaucoup plus qu'au début. Seule chose que j'ai appris c'est qu'alors que le conflit s'installe une pluie de météorite tombe sur l’Anatolie.Je ne vais pas vous mentir, je n'ai pas adhéré. Principalement car le coté «hypnotique» et silencieux, ça ne me réussit pas au cinéma. Ça me met dans une espèce de trans bizarre et j'ai beaucoup de mal à suivre. Ici le propos passionnant, n'est pas mis en avant de manière lisible. Ces combats sont transformés en moments d'art et ça ne convient pas à ce matériel.Nous avons beaucoup débattu sur comment été filmé ce film. Comment l'image avait été travaillée pour qu'apparaisse parfois un espèce de gros grains, filtres, caméra sur l'épaule, drone, argentique, numérique, peut être un peu de tout. Ça forme un ensemble pas très homogène, avec de belles images et parfois des choses vraiment pas réussies.
Ce film est ambitieux, engagés, courageux. Je n'ai pas été séduite. Mais peut être que d'autres personnes seront s'y retrouver .