Avec Taron Egerton, Colin Firth, Mark Strong
Chronique : Le petit frère irrévérencieux et malpoli de James Bond est de retour. Derrière la caméra, Matthew Vaughn ressert la recette savoureuse qui avait fait le succès du premiers Kick Ass et de Kingsman I. De l’action, de la baston ultra chorégraphiés, des dialogues bien senties dans un scénario qui se fixe peu de limites. Un peu trash, un peu sanglant, un peu chic aussi (british oblige), le récit va à 100 à l’heure, sans temps mort, et nous fait traverser le globe comme dans le temps glorieux des Bonds passés. Vannes, gadgets, bolides, tout y est. L’histoire est certes quelconque, mais elle tient la route grâce à ses personnages, complémentaires et attachants, d’autant plus que Le Cercle D’or assure au niveau visuel, en particulier le très réussi repaire de la grande méchante (géniale Julianne Moore, fabuleux Elton) oasis 50’s en plein cœur de la jungle.
Nul doute que les Kingsmen ont encore de beaux jours devant eux. On ne s’en plaint pas.
Synopsis : Kingsman, l’élite du renseignement britannique en costume trois pièces, fait face à une menace sans précédent. Alors qu’une bombe s’abat et détruit leur quartier général, les agents font la découverte d’une puissante organisation alliée nommée Statesman, fondée il y a bien longtemps aux Etats-Unis.
Face à cet ultime danger, les deux services d’élite n’auront d’autre choix que de réunir leurs forces pour sauver le monde des griffes d’un impitoyable ennemi, qui ne reculera devant rien dans sa quête destructrice.