PRINCES ET PRINCESSESde Michel OcelotAprès avoir vu Ivan Tsarevitch et la princesse changeante, nous avons eu une boulimie des films de Michel Ocelot, et nous avons enfin vu Princes et princesses que l'on avait à la maison depuis des annéesOn se retrouve, comme dans le long métrage que j'ai précédemment cité dans un cinéma de quartier. Un garçon et une fille accompagné d'un technicien créés des histoire. le fil conducteur de cet opus est la présence de princesses dans chacune d'elles. Mais attention ici on est chez Michel Ocelot, elles n'attendent pas en faisant de la broderie que l'on vienne les sauver. Elles sont à l'égal des princes et elles savent se faire respecter.
Elles se déclinent au fil des contes suivants:la princesse aux diamants, le garçon des figues, la sorcière, le manteau de la vieille dame, la reine cruelle et le montreur de fabulo, puis Prince et princesse. Comme chaque recueil de contes de l'artiste chaque histoire à son univers propre, par le choix de la palette de couleurs, des costumes, ou les décors des fonds tous en adéquations avec la période où l'histoire se situent , avec son contexte.On y parle d'amour bien sure, de comment il naît, pourquoi il naît, comment il révèle celui qui le ressent. Mais pas que. Il parle aussi de dignité, de simplicité, de générosité, et de franchise. Car dans chaque histoire la femme est forte et indépendante, et ce n'est pas une jeune beauté naïve. Elles dirigent des hommes, elles les dominent, les tuent, les prend à leurs propres jeux, et la moins jeune et la moins couronnée de toutes n'est pas la moins noble. Jamais femme n'est faible ou incapable de se défendre seule ici. Ne vous trompez pas.
Tous ces contes m'ont enchantés et j'ai adoré les ultimes mots du film comme une revendication. J'ai aimé ces accents humanistes, ces accents qui vont de paire avec son créateur. Mon préféré est pour moi le magnifique manteau de la vieille dame. Mais tous ceux qui aiment la patte «Michel Ocelot » ses silhouette noires comme en ombres chinoises ou à contre jour, sa philosophie qui réchauffe les âmes, sa bienveillance, trouveront leurs bonheurs dans cet opus.
Elles se déclinent au fil des contes suivants:la princesse aux diamants, le garçon des figues, la sorcière, le manteau de la vieille dame, la reine cruelle et le montreur de fabulo, puis Prince et princesse. Comme chaque recueil de contes de l'artiste chaque histoire à son univers propre, par le choix de la palette de couleurs, des costumes, ou les décors des fonds tous en adéquations avec la période où l'histoire se situent , avec son contexte.On y parle d'amour bien sure, de comment il naît, pourquoi il naît, comment il révèle celui qui le ressent. Mais pas que. Il parle aussi de dignité, de simplicité, de générosité, et de franchise. Car dans chaque histoire la femme est forte et indépendante, et ce n'est pas une jeune beauté naïve. Elles dirigent des hommes, elles les dominent, les tuent, les prend à leurs propres jeux, et la moins jeune et la moins couronnée de toutes n'est pas la moins noble. Jamais femme n'est faible ou incapable de se défendre seule ici. Ne vous trompez pas.
Tous ces contes m'ont enchantés et j'ai adoré les ultimes mots du film comme une revendication. J'ai aimé ces accents humanistes, ces accents qui vont de paire avec son créateur. Mon préféré est pour moi le magnifique manteau de la vieille dame. Mais tous ceux qui aiment la patte «Michel Ocelot » ses silhouette noires comme en ombres chinoises ou à contre jour, sa philosophie qui réchauffe les âmes, sa bienveillance, trouveront leurs bonheurs dans cet opus.