Ce sentiment n'est pas du qu'à l'humour distillé dans ce film. Il y a de nombreuses choses que je n'ai pas aimé.La première et la principale et le crescendo du film. La narration m'avait séduite au début. Cet ancrage dans la réalité qui lui donne un coté transposition de faits divers bien agréable. Le réalisateur créé un faisceaux d'éléments qui nous font penser que le coupable n'est pas loin. Ou que c'est un type de meurtre bien précis. Puis le coté enquête passe au second plan, et c'est plus qu'une histoire de colère, de tables renversées, de moments d'intimidation, de n'importe quoi généralisé. Ça n'a même pas une valeur cathartique. C'est du n'importe quoi, de plus en plus gros, de moins en moins crédible. La mort du shérif est le moment où j'ai commencé à me désolidariser du film. L'orchestration, ce qui en découle, rien n'est cohérent ni dans l'histoire, ni nulles part. Après ce moment même si j'ai apprécié le film, je n'ai jamais pu m'y accrocher. J'ai commencé à voir venir les rebondissements et les méandres du scénario.Le coté Amérique profonde hyper stéréotypée m'a profondément gênée. Le bon gars mourant, le flic clichés mais qui n'est jamais arrêté, la mère au bout du rouleau qui a dit des choses horribles à sa fille avant qu'elle meurt, le policier black qui vient pour remettre des choses en ordre mais que personne ne veut aider, la violence au quotidien très cathartique. Cette manière de dire chez eux mais pas chez nous. Ces raccourcis me dérangent toujoursJe n'ai pas un avis arrête sur ce film. Je ne vous dirai pas que je l'ai aimé ou pas. Il faut le voir et se faire une opinion. Mais je ne joindrai pas l'avis dithyrambique de la majorité des blogueurs , et ça ne veut pas dire que c'est moi qui est raison.
Ce sentiment n'est pas du qu'à l'humour distillé dans ce film. Il y a de nombreuses choses que je n'ai pas aimé.La première et la principale et le crescendo du film. La narration m'avait séduite au début. Cet ancrage dans la réalité qui lui donne un coté transposition de faits divers bien agréable. Le réalisateur créé un faisceaux d'éléments qui nous font penser que le coupable n'est pas loin. Ou que c'est un type de meurtre bien précis. Puis le coté enquête passe au second plan, et c'est plus qu'une histoire de colère, de tables renversées, de moments d'intimidation, de n'importe quoi généralisé. Ça n'a même pas une valeur cathartique. C'est du n'importe quoi, de plus en plus gros, de moins en moins crédible. La mort du shérif est le moment où j'ai commencé à me désolidariser du film. L'orchestration, ce qui en découle, rien n'est cohérent ni dans l'histoire, ni nulles part. Après ce moment même si j'ai apprécié le film, je n'ai jamais pu m'y accrocher. J'ai commencé à voir venir les rebondissements et les méandres du scénario.Le coté Amérique profonde hyper stéréotypée m'a profondément gênée. Le bon gars mourant, le flic clichés mais qui n'est jamais arrêté, la mère au bout du rouleau qui a dit des choses horribles à sa fille avant qu'elle meurt, le policier black qui vient pour remettre des choses en ordre mais que personne ne veut aider, la violence au quotidien très cathartique. Cette manière de dire chez eux mais pas chez nous. Ces raccourcis me dérangent toujoursJe n'ai pas un avis arrête sur ce film. Je ne vous dirai pas que je l'ai aimé ou pas. Il faut le voir et se faire une opinion. Mais je ne joindrai pas l'avis dithyrambique de la majorité des blogueurs , et ça ne veut pas dire que c'est moi qui est raison.