… avec Laetitia Dosch : la bonne fée du film
Voilà une comédie française qui sort des sentiers battus tracés par les films français grand public jouant sempiternellement sur les mêmes ressorts. Affichant sa filiation avec les comédies US indé’ avec sa palette de personnages non conformistes voire fantasques, le film offre un burlesque naturaliste agréable frais qui en fait son originalité. Des familles à la marge que l’on retrouve aussi dans le cinéma de Wes Anderson par exemple. On retrouvera aussi une forme de paternité avec « Comme un avion » de Podalydès. Conte réaliste, comédie décalée, voire romantique barré : chacun y trouvera sa veine. Et au milieu de tout çà Laetitia Dosch, dès les premières minutes, donne à elle seule une tonalité décalée qui confère ce charme au film. Révélation féminine de l’année ciné hexagonal pour 2017 : sans conteste.
Après, ce film est un peu bancal, inégal et déroule une énième fois une histoire de liens fraternels distendus… une sorte de « Ce qui nous lie » décalé. Le film échoue alors à intégrer un spectateur largué dans la seconde moitié du film ; et on finit par ne s’attacher bien souvent qu’aux performances comiques de la fraiche Laetitia Dosch.Sorti en 2018Ma note: 13/20
Voilà une comédie française qui sort des sentiers battus tracés par les films français grand public jouant sempiternellement sur les mêmes ressorts. Affichant sa filiation avec les comédies US indé’ avec sa palette de personnages non conformistes voire fantasques, le film offre un burlesque naturaliste agréable frais qui en fait son originalité. Des familles à la marge que l’on retrouve aussi dans le cinéma de Wes Anderson par exemple. On retrouvera aussi une forme de paternité avec « Comme un avion » de Podalydès. Conte réaliste, comédie décalée, voire romantique barré : chacun y trouvera sa veine. Et au milieu de tout çà Laetitia Dosch, dès les premières minutes, donne à elle seule une tonalité décalée qui confère ce charme au film. Révélation féminine de l’année ciné hexagonal pour 2017 : sans conteste.
Après, ce film est un peu bancal, inégal et déroule une énième fois une histoire de liens fraternels distendus… une sorte de « Ce qui nous lie » décalé. Le film échoue alors à intégrer un spectateur largué dans la seconde moitié du film ; et on finit par ne s’attacher bien souvent qu’aux performances comiques de la fraiche Laetitia Dosch.Sorti en 2018Ma note: 13/20