Une franchise à bout de souffle
Dernier opus de l’ère Broccoli et Saltzman à la production, il est le maillon faible de cette série de 5 films. Passant après deux très bons numéros (« Opération tonnerre » et « Goldfinger ») ; malgré un très gros budget, la recette s’essouffle tout comme son comédien phare Sean Connery qui s’est bien empâté au passage. Le paquet est mis sur le spectacle avec des scènes de combats homme à homme dans les bureaux super bien chorégraphiées et mises en scène, des combats aériens avec hélicos spectaculaire,… mais les personnages, l’humour, les James Bond Girl et la psychologie sont les grands oubliés d’un scénario écrit par une pointure du roman jeunesse, Roal Dahl. Surfant toujours sur les peurs de l’époque, après les risques de guerre nucléaire dans « Opération tonnerre », c’est ici les risques de conflit générés par la conquête de l’espace entre soviétiques et américains. Et à ce propos, la première scène est géniale avec un kidnapping spatial de navette. Un peu déçu par cet opus qui a bien moins résisté paradoxalement au temps que les deux précédents.
Sorti en 1967
Ma note: 9/20
Dernier opus de l’ère Broccoli et Saltzman à la production, il est le maillon faible de cette série de 5 films. Passant après deux très bons numéros (« Opération tonnerre » et « Goldfinger ») ; malgré un très gros budget, la recette s’essouffle tout comme son comédien phare Sean Connery qui s’est bien empâté au passage. Le paquet est mis sur le spectacle avec des scènes de combats homme à homme dans les bureaux super bien chorégraphiées et mises en scène, des combats aériens avec hélicos spectaculaire,… mais les personnages, l’humour, les James Bond Girl et la psychologie sont les grands oubliés d’un scénario écrit par une pointure du roman jeunesse, Roal Dahl. Surfant toujours sur les peurs de l’époque, après les risques de guerre nucléaire dans « Opération tonnerre », c’est ici les risques de conflit générés par la conquête de l’espace entre soviétiques et américains. Et à ce propos, la première scène est géniale avec un kidnapping spatial de navette. Un peu déçu par cet opus qui a bien moins résisté paradoxalement au temps que les deux précédents.
Sorti en 1967
Ma note: 9/20